3 octobre
Après une nuit sous le bruit des déferlantes, les enfants doivent d’abord faire leurs leçons avant d’aller dans l’eau. Ehh… nous n’avons pas pensé à la marée … à haute mer les vagues s’échouent directement sur les galets, dur, dur pour les genoux et les coudes pour nos débutants surfeurs. Il faut trouver une autre plage. Nous demandons conseil à un couple d’allemands, très sympas qui ont aussi dormi sur place. Ils nous donnent plusieurs endroits sur notre chemin qui doivent être beaucoup mieux.
Nous partons alors direction de la Punta de la Estaca de Bares. Mais n’oublions pas d’aller voir Praia As Catedrais (Playa de Las Catedrales), de nombreuses arches de pierre, sculptées par la mer sont alignées sur 1,5km de sable blanc. Malheureusement nous arrivons trop tôt ! C’est pleine mer. Moralité, nous les admirons depuis les hauteurs…





…mais ne perdons pas de temps et faisant les derniers 60km qui nous séparent de Bares et de sa belle plage de sable.









3 au 5 octobre
Le soir de l’ arrivée sur notre terrasse avec vue sur la mer, nous observons un renard qui fait sa ronde. Avec des petits bouts de restes nous essayons de l’immortaliser en photo… mais il préfère revenir plus tard quand nous sommes déjà couché pour faire le ménage. Nous admirons le levé de soleil et déjeunons face à la mer. Après l’école nous partons profiter de cette immense plage désertique. Malheureusement la météo s’annonce mauvaise. Les enfants fabriquent une tente avec les bâtons de marche et les couvertures, taillent des pierres (découvrent des coquillages fossiles) Andrea travail sur le blog. La journée passe, nous voyons quelques indigènes qui viennent faire une balade par ici (peut-être juste voir qui c’est installé là ?) Le soir venu, il fait déjà nuit lorsque, un petit bus VW ce met sur le parking. C’est une couple Suisse/Espagnole avec leur bébé de 4 mois et leur deux chiens, ils ont des plaques SH. Nous échangeons nos aventures, nos vies, nos voyages. Nous partons le lendemain vers 11h.


5 octobre
La route est belle, nous sillonnons entre les prés, les forêts d’eucalyptus, les petit villages et passons par un grand parc d’éoliennes près d’Ortiguera. Au pied de ses monstres nous sommes tout petit, nous avons même l’impression qu’ils bougent. Mais en fait c’est l’effet entre les nuages qui passent et les pales qui tournent. C’est surprenant !


Nous continuons la route jusqu’à Ferrol, de là nous décidons de prendre l’autoroute pour ne pas arriver trop tard près de Coruña. Nous cherchons un Bivouac vers Sada, mais aucun endroit s’y prête pour dormir à la « sauvage ». Allons même voir au cap. Mis à part un joli Phare et des déjections de lapins sauvages… pas de parking. Nous passons dans des petites ruelles. Affrontons trois grand dos d’ ânes (hop hop) dans une montée à 15 %, heureusement c’est Olivier qui est au volant. Jerry Lee passe partout sans dégâts… ouf ! Allons voir plus près de Coruña. Génial ! A la playa de Bastiagueiro il y a un grand parking, des vagues et même des enfants qui font une école de surf !







Tim passe deux heures dans l’eau à surfer et observer les autres, Maé abandonne l’eau au bout d’ une heure à cause de la température et se réchauffe en faisant un château de sable avec maman. Nous tentons de dormir sur place (parking) SAM (seule au monde) Andrea met le blog à jour. Personne vient nous embêter la nuit est très calme.
6 octobre
Nous partons A Coruña pour voir son phare mythique el Torre de Hercules. La ville est grande et en plus il y a des travaux en direction du phare. Mais vive le GPS qui nous aide à trouver des routes d’ évitements. 231 marches sont à emprunter pour arriver au sommet du Torre de Hercules. Olivier notre capitaine, cède à la tentation et veut oser l’ascension Yes, nous sommes tous arriver en haut. Dommage qu’il pleuve… nous ne voyons pas très loin.







Avec cette pluie continuelle (ou presque), nous profitons d’aller voir l’aquarium à quelques mètres d’ici. La salle Nautilus est la plus spectaculaire, nous avons l’impression d’être derrière une barrière de vitres pendant que les poissons nous observent.






Il est déjà 18h30, nous ne voulons pas rester à la ville pour dormir. En route direction le cap Finisterre. Vers 20h nous passons devant un centre commercial Carrefour. Nous profitons de faire quelques achats… et en fin de compte… pourquoi pas dormir ici ? Il commence à faire nuit et nous sommes tous fatigués.


7 octobre
Journée surprise ! Un ancien collègue de travail à Olivier habite pas loin d’ici. Nous décidons de lui rendre visite.


Mais n’ayant uniquement le point GPS, nous ne pouvons pas lui annoncer notre venue. Tentons le coup. Arrivé devant sa maison nous garons notre « petit » véhicule au bord de la route devant sa porte. Andrea sort du CC et un monsieur sort et dit en espagnol que nous ne pouvons pas rester ici, ce n’est pas un parking. Elle lui dit, vous n’êtes pas José ? Il ne me connaît pas ??? Mais quelle fut sa surprise quand Olivier est sorti du CC ( même si il ne l’a pas reconnu tout de suite, vu son changement de physique à cause de sa maladie et des médicaments).
José nous fais visiter sa maison, voir ses animaux et nous partageons un moment formidable avec lui et sa femme. Nous partons en début d’après-midi, « moment émotion ! »
Allez… vamos au Cabo Fisterra. Mais il est 14h ! Les enfants crient famine ( surprenant après la quantité de biscuits qu’ils ont avalés chez nos amis). Au bord de la route un panneau « chemin des Dolmens » nous intrigue……….

Aie aie, de nouveau une route… euh piste pour nous ! Bien étroite et surprenante. Les dolmens nous les avons pas vus, mais arrivons en haut d’ une colline vers une chapelle. Pic-nic et petite balade… Maintenant il faut redescendre ! On continue le chemin ( il a l’air plus court puisque nous apercevons un village en contre bas) la route est comme avant étroite… mais arrivé au village nous devons passer entre deux maisons…. c’est vraiment serré ! Tellement serré que Andrea pense pas à faire des photos !!! Jerry Lee passe avec 5cm de chaque côté. Ouffff.





Nous parcourons encore 20km et arrivons au bout de la terre ( comme le pensaient les romains). Le Cabo Fisterra ! Une légère pluie nous tombe dessus, le phare n’est pas visitable, il y a beaucoup de touristes, mais la vue est belle (par moment) et le lieux mythique. Le soir arrive…allons nous voir ce fameux coucher du soleil ? Malheureusement pas 🙁 trop de nuages nous gâchent le spectacle. Nous dormons sur le parking surplombant la falaise prévu pour CC, balayé régulièrement par la lumière du phare et bercé par les rafales.












Météo du Cabo Fisterra : mer agitée, 25 noeuds de vent avec rafales.
8 octobre
La météo ne va pas améliorer, ils annoncent 65noeuds dans l’après-midi. Levons l’ancre et allons voir Santiago de compostel.



Quelle bonne idée !? Pendant presque une heure nous cherchons une place pour se parquer. Ohlala ! Même en voiture cela ne dois pas être évident. Au bout d’un moment… déjà rongés par les nerfs… nous décidons de nous garer à l’écart devant le centre social. Tant pis, nous irons en bus ou taxi ! Mais après renseignement il s’avère que nous nous trouvons à 10 minutes à pied de la cathédrale. FORMIDABLE 😀
Arrivés dans les arches marchandes qui entourent le lieu, la faim nous amène dans un de ses nombreux restaurants. Le Gastrobar l « Elefante » aux airs un peu indien nous propose des mets intéressant ( humus, crêpes poulet/ananas, salade et calamars). C’était bien bon. Maintenant allons voir ce Monument qui attire tous ces pèlerins du monde entier. Malheureusement pour notre œil les deux tours de la cathédrale sont en chantier ( mais ça se voit, elle en a bien besoin) L’édifice est gigantesque, nous admirons le travail des détails, martelés dans la pierre, sculptés en bois ou forgés dans le métal. Seul les nombreux visiteurs et le chantier nous ramène dans notre époque.










Il recommence de nouveau à pleuvoir. Nous profitons d’aller boire un café dans une pâtisserie pour attendre une accalmie. Mais le temps n’y fait rien, nous retournons au CC sous une légère bruine.
A l’office de tourisme on nous a donné des adresses d’aires camping-car, dont le plus proche ce trouve à Santiago. Allons donc la voir… mais quelle surprise, l’aire avec borne CC coûte 12,50 Euro et comme nous sommes arrivé avant 20h il faut payer 3,50 Euro supplémentaire ! Malgré la gentille proposition de la dame d’accueil de revenir dans 30min pour économiser les 3,50 Euro nous ne voulons pas débourser un centime pour ce parking nu.
Nous partons direction le sud. Nous trouvons une aire CC à Pontevedra. C’est pas très beau après la pluie et nous sentons des odeurs fortes remonter de la mer. Mais c’est gratuit et nous avons une borne à eau et vidange à disposition. C’est tout ce que nous recherchions pour ce soir.

3 Oktober
Nach einer wellenschlagenden Nacht, müssen die Kinder erst ihre Schularbeiten erledigen, bevor sie ins Wasser dürfen. Ohhh… wir haben nicht an die Flut gedacht… bei Hochwasser brechen die Wellen direkt auf dem Kieselrand, für die Knie und Elenbogen unserer Surf-Anfänger ein nicht so angenehmes Abenteuer. Wir müssen an einen anderen Strand. Wir fragen unsere Nachbarn um Rat, ein nettes deutsches Pärchen gibt uns einige Tips auf unserer Reiseroute welche besser geeignet währen für unsere Jungmanschaft. Los geht es Richtung der Punta de la Estaca de Bares. Aber wir vergessen natürlich nicht einen Halt an der Praia As Catedrais (Kathedralen Strand) ein zu legen. Zahlreiche Steinbögen, vom Meer gestaltet sind hier auf 1,5km aufgereiht. Leider kommen wir etwas zu früh vorbei, die Ebe ist noch nicht ganz erreicht und wir können nicht dem Strand entlang laufen, aber das hindert uns nicht die Steinskulpturen von oben her zu betrachten. Doch wir wollen keine Zeit verlieren und fahren noch die bleibenden 60km bis nach Bares und dessen traumhaftem Sandstrand.
3 bis 5 Oktober
Am Abend unserer Ankunft, auf unserer Terasse mit Meeresblick, durften wir mit begeisterung einen Fuchs beobachten, welcher hier sein Revier hat. Mit kleinen Leckerbissen haben wir versucht das wilde Tier Fotografisch fest zu halten… aber anscheinend mag er keine Paparazis und bevorzugte es, später, als wir schion im Bett lagen, eine kleine Runde zu drehen um unsere Terasse zu säubern.
Die Sonne geht über dem Meer hoch, wir geniessen diesen farb-intensiven Moment. Nach den Schularbeiten geniessen wir den langen Sandstrand, für uns allein. Leider ist heute schlechtes Wetter angesagt. Die Kinder bauen sich ein Zelt mit den Wanderstöcken und ein paar Decken, zerschlagen Steine (und finden dort einige Muschelfossilien) Andrea arbeitet am Blog. Der tag vergeht in Windeseile, ab und zu sehen wir Einwohner des Fischerdorfes die sich die Füsse bis hierhin vertreten (aber wir denken dass sie vorallem wegen unserer präsenz sich bis hier hin bemüht haben). Schon ist es Abend, und bei Finsternis überrascht uns ein kleiner VW Bus, welcher sich in unsere Nähe stellt. Es ist ein Schweiz/Spanisches Pärchen mit einem vier Monate alten Baby und zwei Hunden. Sie kommen aus Schaffhausen. Wir tauschen unsere Erfahrungen, sprechen über die Reisen und unser Leben ( in einer Mischung aus Schwiizerdütsch-Englisch-Spanisch und Französisch). Am nächsten Morgen verlassen wir die Bucht um ca. 11 Uhr.
5 Oktober
Die Fahrt ist schön, wir fahren durch Eukalyptus-Wälder, über Felder (also eher gesagt zwischen den Feldern ;-)) durchqueren kleine Dörfer und einen grossen Windradfeld (wie sagt man dem genau??) in der Nähe von Ortiguera. Am Fusse dieser Giganten fühlen wir uns sehr klein, wir haben sogar das Gefühl, dass die Riesen sich bewegen. Aber das ist eine optische Täuschung weil das Rad sich dreht und die Wolken sich im Hintergrund bewegen. Überraschend!
Wir fahren weiter bis nach Ferrol, von da aus nehmen wir die Autobahn um nicht all zu spät in der Nähe von A Coruña zu sein. Bei Sada, suchen wir vergeblich nach einem Übernachtungsplatz. Auch beim Leuchtturm hat es keien Parkplatz der sich zum Wildcampen eignet.
Wir verirren uns in kleinen, engen Strassen, meistern steile Strassen welche mit Hophop’s (oh ja, wenn ich das jetzt auf Deutsch wüsste… ich spreche von den Verkehrsbremsern, die mühsamen Hügel..?) doch zum Glück ist Olivier am Lenker und macht das mit Links. Jerry Lee übersteht die Fahrt ohne Schaden… Glück gehabt!
Na, wenn es hier nichts gibt, dann fahren wir näher zu A Coruña. Genial, an der Playa de Bastiagueiro gibt es einen grossen Parkplatz, Wellen und sogar eine Surfschule die mit Kindern am üben ist!
Tim verbingt zwei Stunden im Wasser mit seinem Bodysurf und beobachtet die andern, Maé verlässt das kühle Nass (20°C) nach einer Stunde und erwärmt sich am Strand mit einer Sandburg. Wir versuchen auf dem Parkplatz zu übernachten. Es hat kein Schild welches das parkieren oder übernachten mit Wohnmobilen verbietet. Andrea verbringt die halbe Nacht damit Bilder auf den Blog zu übertragen. Die Nacht ist ruhig und ungestört.
6 Oktober
Wir fahren nach A Coruña um den mytischen Leuchtturm el Torre de Hercules zu sehen. Die Stadt ist riesig und eine riesige Baustelle verbaut den Weg bis zum Leuchtturm. Aber zum Glück haben wir einen GPS, welcher uns einen neuen Weg berrechnet.
231 Stuffen muss man bewältigen um bis nach oben auf den Turm zu kommen. Unser Kapitän Olivier kann der versuchung nicht wiederstehen und meistert diesen Aufstieg. Super! Wir sind alle oben und geniessen den Weitblick…. oh, hab ich Weitblick gesagt!? Nein, leider regnet es! Bei diesem Wetter ist auch ein Stadbesuch nicht sehr angenehm, wir wendne uns dem Aquarium zu, welches nur ein paar hunder Meter vom Torres de Hercules entfernt ist.
Wir sehen schöne Fische, Robben und sogar einen grossen Haifisch im Nautilus Raum.
Und schon ist es 18Uhr30, wir wollen die Nacht nicht in der Stadt verbringen und fahren weiter Richtung Cabo Fisterra. Um 20Uhr erreichen wir das Ende der Autobahn und machen beim Einkaufszentrum Carrefour halt um ein paar Notwendigkeiten zu beschaffen… und Schlussendlich… wieso nicht gleich hier übernachten? Es ist schon spät und wird dunkel und zudem sind wir alle müde.
7 Oktober
Tag der Überraschung! Ein ehemaliger Arbeitskolleg von Olivier wohnt hier ganz in der Nähe. Wie entscheiden und spontan bei ihm vorbei zu schauen. Als wir vor dem Haus parkieren schiesst er aus der Tür und sagt Andrea auf spanisch, dass wir hier nicht halten können, es sei privat. (Sie hatten sich nur kurz einmal in der Schweiz gesehn!) Dann sagt Andrea zu ihm … aber sind sie nicht José? Als Olivier dann hinter dem Wohnmobil hervor kommt ist die Überraschung gelungen. (ob wohl er auch Olivier nicht sofort erkannt hat, wegen der Krankheit und den Medikamenten hat er sich doch etwas verändert). José zeigt uns sein Haus, seine Tiere, spendiert uns Kaffe und Keckse. Wir verbigen einen schönene Moment in Geselschaft seiner Frau. Nun ist es Zeit, wir verabschieden uns und bedanken uns. Ein emotionaler Moment.
Los geht’s… vamos au Cabo Fisterra. Doch nun ist 14 Uhr (spanische Essenszeit) und die Kinder haben schon wieder Hunger (dabei haben die sich doch bei José mit Kecksen voll geschlagen!?). Suchen wir uns eine kleine Rasstätte… eine Tafel mit „Dolmen weg“ darauf geschrieben kommt uns gerad gelegen. Doch wir fahren mehrere Kilometer ohne einen Dolmen, noch eine andere Tafle zu sehen. Und dann auf einmal ein Schild mit einer Kapelle. Lass uns dort mal hinfahren. Schon wieder eine dieser engen Strassen. Links und Rechts biegen sich Farnblätter über die Steinmauern. Aber auch in der Höhe klappts. Ein Märchenhafter Ort. Wir Picknicken und machen einen Rundgang. Jetzt müssen wir hier wieder runter kommen! Auf der anderen Seite haben wir einige Dächer erraten… fahren wir den Weg doch einfach weiter. Er ist immernoch eng und wir hoffen keinem Fahrzeug zu begegnen. Aber erst recht knapp wir es als wir am Dorfende ankommen. Links eine hohe Mauer und rechts liegen grosse Steine und die Hauswand endet am Strassenrand. Es bleiben nur so wenige cm auf beiden Seiten dass Andrea vor lauter Sorge nicht einmal die Kamera zückt. Aber wir kommen ohne Krazer durch und die Reise kann weiter gehen. Nach 20km sind wir am „Ende der Welt“, an der Costa do Morte. Das von Mythen umwobene Cabo Fisterra. Der Ort an dem die Sonne „stirbt“ lies schon Kelten, Römer und Jakobspilger erschaudern.
Es regnet leicht, der Leutturm ist nicht besichtbar, es hat zahlreiche Touristen, aber die Aussicht ist schön (zumindest Teilweise) und der Ort ist mytisch. Werden wir heute Abend den Sonneuntergang sehen? Leider nicht wirklich. Die Regenwolken verderben das Schauspiel.
Wir schlafen auf dem Parkplatz, regelmässig vom Scheinwerfer des Turms erleuchtet und von starken Windböhen geschaukelt.
8 Oktober
Die Wettervorhersage ist schlecht, der Wind wird am Nachmittag noch stärker. Wir wollen die Kathedrale und die Altstadt von Santiago de Compostela besuchen.
Was für eine gute Idee!? Während knapp einer Stunde suchen wir einen Parkplatz vergebens. Die Nerven schon angenagt, entschliessen wir uns etwas weiter entfernt, vor dem Sozial Haus unser Wohnmobil stehen zu lassen und irgendwie mit Bus oder Taxi in die Altstadt zu kommen. Doch nachdem wir uns erkundigt haben, befinden wir uns nur knappe 10 Gehminuten von der Kathedrale entfernt. SUPER. Wir machen eine Halt in der gastrobar „Elfante“ und geniessen orientalisch angehauchte leckereien wie Humus, Crepe mit Poulet und Ananas, Salat und Tintenfisch. Weiter geht es auf einen Kirchenrundgang. Unglaublich wie viele Pilger diese Stadt anzieht. Leider ( für unser Auge schade, aber notwendig ist eine Renovierung sichtlich) sind die Türme der Kathedrale verhüllt, und auch im innern sind Bauarbeiter am Werk. Wir bewundern die zahlreichen details, in Holz geschnitzt, in Stein gemeiselt oder au Eisen geformte Werke.
Schon wieder beginnt es zu regnen. Wir nutzen die gelegenheit um in einem Kaffe halt zu machen und abzuwarten. Doch leider bringt auch die Zeit keine Besserung… wir pilgern bei leichtem Regen zu unserem Jerry Lee zurück.
Im Touristeninformationszentrum haben wir eine Liste mit Abstellplätzen für Wohnmobile erhalten. Der naheliegenste ist in Santiago selbst. Wir fahren um 19Uhr zu dem Parkplatz. Die Dame am Schalter verlangt 12,50 Euro für die Nacht und zusätzliche 3,50 Euro weil wir vor 20 Uhr ankommen. Obwohl sie uns das Angebot macht in 30 Minuten wieder zu komment um die 3.50 Euro zu sparen fahren wir weiter. Für diesen shclichten Parkplatz, ohne WC oder Dusche geben wir keinen Cent aus! Wir fahren weiter Richtung Süden. In Pontevedra finden wir einen Womo-Abstellplatz mit Wasser und Abwasser Station. Der Ort ist nicht gerade schön nach dem Regen und wir kriegen einige Meeresdüfte ab. Aber es ist Gratis. Und wir haben alles was wir für heute benötigen.
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