30 Octobre

Après cette belle nuit au bord de l’eau, la route continue. Sans trop perdre de vue l’océan, nous longeons la côte sur la N247 en direction du Cabo do Roca. La cap le plus occidental de l’Europe … ou disons plutôt du continent européen, pour ne pas fâcher les Irlandais. Ce lieu est assez magique, à part les nombreux touristes qui se promènent le long de la falaise qui surplombe l’Atlantique du haut des ses 140m. Nous admirons la belle vue et prenons quelques photos en souvenir 😉 … des vrais touristes quoi !

Il est déjà temps de trouver un bivouac pour la nuit. Nous revenons un bout en arrière sur notre chemin. Vers Colares nous nous arrêtons à la Praia Grande. Ici aussi, les touristes sont présents… mais surtout en été. La plage étant quasi vide, mis à part les quelques surfeurs qui attendent la bonne vague. Nous garons Jerry Lee sur une place de parc, avec vue sur la mer (malheureusement, il y a la route entre nous et la plage). La nuit est belle, le ciel dégagé mais nous dormons mal, il fait lourd.

31 Octobre

Après la Praia Grande, nous allons un peut en hauteur. La ville de Sintra est perchée sur la montagne, entourée de forêt. L’architecture prend ici son pied, des maisons pleines de charme qui rivalisent avec des palais les plus fous. Nous trouvons une place de parc pas loin du Palácio Naciónal. Ici il y a tellement de choses à voir. A la demande des enfants, nous faisons un petit tour avec le petit train, ce qui nous permet d’évaluer un peu la grandeur de cette belle ville… très très touristique. Nous mangeons un bon plat sur une terrasse, goûtons aux deux spécialités pâtissières ( les « quejadas », petits gâteaux au fromage blanc et cannelle et les « traversseiros », pâte feuilletée fourée de crème d’amande ) Mais notre préférence reste toujours les « pastels de nata ».

Le temps passe vite et nous devons être à Lisbonne demain matin. Donc nous interrompons la visite de Sintra (peut être nous y reviendrons plus tard) pour trouver un camping pour la nuit.

Nous partons en direction de Cascais et trouvons un grand Camping pas loin de l’Océan.

Lisboa

1 novembre – 8 novembre

Le réveille sonne ! Il est temps d’aller à Lisboa pour nous trouver une place de parc, un bivouac, un endroit où nous pouvons stationner pendant sept nuits. Olivier va partir mercredi pour recevoir ses traitements en Suisse. Les parents d’Andrea viennent une semaine ici, profiter de la ville mais surtout de voir les Navigaterre. Nous ne le savons pas encore, mais peut être nous allons profiter un moment de l’appartement que les grand-parent ont loué. De toute façon il faut un stationnement sûr pour Jerry Lee. Malheureusement le Camping de Lisboa ce trouve un peut loin du centre et les tarifs sont assez chère. Après un tour de ville et des recherches approfondi vers le parque das nações (selon le conseil du patron du camping Land’s Hause) mais faute d’endroit convenable, nous partons à l’Aéroport, car les grand-parents arrivent bientôt. On verra après…

Mais ou garer notre Jerry Lee !? Le Parking P1 et P2 sont dans un bâtiment, hauteur max. 2m20… le parking P4 est pour les voitures de location et le P5 ( à 5euro/jour) doit être réservé d’avance sur internet…. foutu internet 😉 … et là tout d’un coup nous apercevons un autre camping-car, stationné sur le parking ouvert… le P3 ! Mais ou est cette foutue entrée ???? Heureusement nous sommes en avance. Après quelques tours, nous voici dans le parking P3 de l’Aéroport, bien stationné sous le pont, à l’abri de la pluie et du soleil… merveilleux !

Enfin ! Après une longue attente (eh oui, si on est en avance sur les lieu) Opapa et Moma arrivent. Quelle joie. 😀 !!!

Nous décidons de laisser notre maison sous la surveillance des cameras de l’Aéroport et partons avec Moma et Opapa dans l’appartement (équipé pour 6 personnes) dans le quartier du Bairro Alto, juste en dessous de la place Principe Real… et nous avons bien fait !

Nous n’allons pas vous raconter notre séjour en détail … les photos vont parler d’elles même ( et la aussi, nous en mettrons que quelques une … eh oui entre les grand-parents photographes et cameraman semi-pro … plus le nombre de prises de vue déjà grandes d’Andrea c’est …c’est…c’est … donc un petit extrait sera bien suffisant).

Nous passons une semaine merveilleuse, malgré la météo qui c’est un peu rafraîchie et la pluie qui menace souvent, qui n’empêche pas la visite de la ville. Les soirs nous explorons les nombreuses ruelle du Bairro Alto et dégustons quelques plats goûteux dans de charmants petit Restaurants. La journée on s’occupe selon la météo et les envies … sur notre passage : la visite du Torre de Belém, le Monumento das Descobertas, Marquês Pombal, l’Elevador de Santa Justa (en restauration:-( ), Ascencor de Bica, le Musée Gulbenkian (qui expose de l’art égyptien, gréco-romain, Mésopotamie, l’Orient islamique, arménien, d’ Extreme-Orient et européen, Art décoratifs, peintures et sculptures et les œuvres de René Lalique), bien sûr nous avons pris les fameux Trams 28 et 25, avons fait des passages dans de nombreuses Pastelerias (aie aie, après cette semaine on va être obligé de se mettre au régime, mais c’est tellement bon et le café au Portugal aussi d’ailleurs !!!), nous avons évité un arrosage en passant dans le grand magasin el Corte Inglès, fait quelques kilomètres à pied, sans oublier la promenade au bord de la rivière Tage (Tejo), etc…

 

 

 

 

Et c’est déjà samedi ! Le temps passe très vite et nous sommes très très triste, de devoir dire au revoir à Moma et Opapa. En échange nous retrouvons notre Jerry Lee et notre Capt’n Olivier, ce qui nous remonte le moral.

9 novembre

Nous avons dormis dans le parking de l’Aéroport ( vue l’arrivée tardive d’Olivier) ce qui était très pratique pour aller chercher le capitaine. Le matin nous partons rapidement de là pour aller admirer le Cristo Rei de près. Pour nous y rendre nous empruntons le Goldengate lisbonnais (ponte 25 de abril), mais juste avant de traverser, nous sommes bloqué dans un bouchon… tant pis, nous profitons d’admirer l’aqueduc de prêt.

Et voilà… nous sommes sur le pont, c’est impressionnant, et très bruyant malgré le revêtement en partie goudronné.

Arrivé à Almada nous parquons Jerry Lee au pied du Cristo Rei. Un ascenseur nous amène sur le podium du Christ. D’ici la vue est magnifique… et avec la chance que nous avons, nous passons juste entre les gouttes.

La route continue à Setúbal où nous allons dans un des nombreuses restaurant proposant du poissons frais. C’est un délice. Il est 16h quand nous hésitons entre rouler encore une centaine de kilomètres en longeant la baie où de prendre le Ferryboat pour traverser la baie en quelques minutes… décision vite prise ! En route pour le Ferry. C’est la première fois que notre maison ce transforme en bateau 😉 .L’ancre ce lève à 17h30 juste au moment du couché de soleil que nous admirons pendant la traversée.

Arrivé de nuit à Tróia, il nous reste plus qu’à trouver rapidement un Bivouac. A la plage de Carvalhal nous découvrons un parking désertique. Parfait ! Nous passons là nuit ici. SAM.

deutscher Text folgt…

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23 octobre

Nous partons du camping Land’s Hause en début d’après-midi et longeons la côte à la recherche d’une jolie plage. Mais ce n’est pas si facile que ça.

Nous faisons halte à Nazaré pour manger un petit truc dans un petit bistro tenu par un couple de personnes d’un age avancé, fort sympa. Nous faisons un petit tour en CC dans la ville (car l’envie d’aller à la plage et plus forte que l’envie de visiter une ville).

Mais nous avons certainement manqué une belle visite, avec funiculaire et marché…. tant pis. Nous continuons la descente jusqu’au Lago de Obidos. Plus précisément nous nous arrêtons dans une aire de CC à Foz do Arelho que nous trouvons par hasard. Au bord de l’eau, sans services autres que vidange/remplissage, le tarif est de 3 Euro les 24h, ok on va se le permettre. Les enfants s’amusent à attraper des poissons et des crevettes, pendant que Andrea et Olivier discutent avec les voisins qui viennent de France, Suisse, Allemagne et d’Anglettere. C’est paisible et le coucher de soleil magnifique.

24 – 26 octobre

La Lagune d’Obidos c’est bien joli, mais les enfants réclament des vagues pour enfin retourner surfer un peu.

A Peniche ont lieu les championnats de surf ces jours nous décidons donc d’aller voir par là bas.

Mais avant tout nous faisons un petit halte à Obidos ! La ville que tout le monde (les camping-caristes rencontrés) disent qu’il faut aller voir. Médiéval avec des rues sans voitures, cette ville est très touristique, mais en effet, très jolie avec en plus un magnifique aqueduc romain.

Nous profitons de goûter à la saucisse braisée à l’alcool de vie sur la table, servie avec des morceaux de fromage de chèvre, du pain et bien sûr nous dégustons la Ginja ( boissons typique d’ici, alcool doux aux griottes).

Il est déjà 15h quand nous quittons Obidos pour aller à Baleal, village très marqué par la présence des surfeurs, il y a des Surf-Shop partout. Nous nous mettons sur le parking et allons voir la mer. En effet il y a des vagues et des surfeurs. Il n’a pas fallu longtemps aux enfants pour s’équiper.

Nous avons même de la peine à les faire ressortir de l’eau. C’est génial.

L’endroit est parfait…. pensions nous… jusqu’à la nuit avancée, quand tout d’un coup vers 23h le Bar d’en face commence sa discothèque … le parking qui s’était vidé en fin de journée commence à se remplir de plus belle, les gens boivent des verres et discutent… jusqu’à 4h du matin ! Aie aie… le seul qui a bien dormis c’est Tim, qui n’a absolument rien entendu.

Malgré tout, l’endroit nous plaît et nous décidons d’y rester encore une nuit voir deux. Tim et Maé profitent même d’une initiation de vrai surf (pas leurs Body-Surf) avec un prof super sympa qui leur donne quelques conseils.

 

 

26 octobre

Un long Weekend au même endroit ça suffit. La route continue… nous partons faire le tour de Peniche…

Depuis le temps que l’on nous parle des Supertubes (Vague en forme de Tunnel) nous décidons d’aller voir la plage ou ont eus lieux les championnats, que nous avons malheureusement manqué de peu. Il reste encore beaucoup d’infrastructures, ils sont en plein démontage. Nous passons la passerelle jusqu’à la mer … et là… déception les vagues étaient bien meilleures à l’autre plage (c’est peut être pas le bon moment, ni le bon jour). Nous buvons un café et les enfants mangent une glace au bar la Banana.

Le lieu n’ est pas terrible pour dormir, donc nous allons quelques kilomètres plus au sud, sur la praia do branca, ou nous trouvons un parking vide, pas loin de la plage. Les enfants construisent une cabane en forme de Tipi, avec les débris de bambous rejetés sur la plage par la mer.

27 et 28 octobre

Au réveil, les enfants retournent vite à la plage pour continuer leurs constructions, mais malheureusement l’endroit était mal choisi et la mer a avalé leur maison. Mais il ne faut pas baisser les bras, il faut choisir un meilleur endroit et recommencer… ils passeront toute la journée sur la plage. Une propriété incroyable sort du sol. Avec une maison, une table de cuisson, une cabane pour les chiens, une batterie (instrument), une barrière, une clôture, un berceau et son bébé, etc… C’est magnifique. Nous restons encore une nuit pour en profiter un maximum.

29 Octobre

Après l’école obligatoire ils retournent sur la plage et jouent un bon moment, avant que nous reprenions la route. Nous voulons aller voir si aujourd’hui la météo est meilleure pour voir les Supertubos à Peniche.

Nous passons au même Bar que 3 jours au paravent, mais les vagues ne sont pas beaucoup plus grosses.

Un hamburger et quelques photos plus tard, nous partons direction le Cabo da Roca ( le Cap le plus à ouest de l’Europe). La route est belle, nous traversons des paysages magnifiques, faisons un arrêt à la Praia de Porto Novo, longeons la côte avec le soleil qui nous éblouis. Nous devons trouver rapidement un bivouac avant la tombée de la nuit.

A Ribamar nous nous arrêtons sur une belle plage, avec des vagues incroyables. Nous ne sommes pas seul cette nuit. Entre pêcheurs et campeurs nous sommes bien. Le coucher de soleil est super, et l’ indien veille sur nous.

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deutsche version folgt….

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Portugal Centre

16 octobre

Départ pour Monsanto ! Nous longeons la frontière…

vers Aldeia do Bispo nous quittons le Portugal et passons une montagne Espagnole. La route est très sinueuse et étroite (eh oui, comme on les aimes) en plus se rajoute un épais brouillard, nous avançons gentiment mais sûrement. Nous croisons que deux voitures sur toute la traversée. Heureusement ! Quand enfin le brouillard se lève, la vue est superbe.

Nous repassons la frontière et après encore une quarantaine de km…

Nnous voilà enfin au pied de Monsanto (dans la Serra da Estrela). Ça monte ! Le village est perché la haut tel un nid d’aigle à 700m de hauteur. C’est incroyable. Attendu depuis le départ de notre voyage, nous voilà enfin dans ce fameux village troglodyte. Sur la route nous apercevons des grosses boules de granite, couvert de mousse. Nous trouvons une petite place pour laisser Jerry Lee au repos. Ici, les ruelles sont vraiment… vraiment étroite ! Pas question de tenter une aventure vouée à l’échec. La traversée du petit village médiéval et la montée jusqu’au Castelo sont incroyables, irréels, féeriques, impressionnants… il nous manque les mots pour le décrire. Jusqu’à présent nous avons vu beaucoup de choses , différentes de notre vie quotidienne, mais là… c’est époustouflant (mais comment sont ils arrivés ici ? Ces Rochers, énormes, posés les uns sur les autres, tout en haut de la montagne! Ils sont tombés de où ?). Les photos n’arrivent pas à vous transmettre nos sentiments, nos impressions… faut y aller pour voir !

après avoir cherché un moment, ils ont enfin trouvés les marches caché 😉 Super Mario a du passer par ici

Nous passons la nuit à l’entrée du village, juste au dessus de l’école et du poste de police. SAM !

17 octobre

Le lendemain, nous continuons la descente plus au sud. Nous avons vu un village près de la frontière qui s’appelle Monfortino et Termas de Montfortino… yes chouette, on pourras se faire un petit bain chaud. Mais arrivé devant les Thermes… grosse déception, ils sont ouvert jusqu’à 13h et il est 12h. Tant pis, au moins une petite heure dans le bain ! Nous arrivons équipé de nos affaires à la réception. Et là, le réceptionniste nous informe que les bains sont uniquement thérapeutiques et individuelles. Pas possible , pas de bain ! Sniff… nous reprenons notre route et retraversons la frontière pour aller en Espagne, voir un pont vers Ceclavin, mais encore cette fois, c’est la déception. Ce pont est tout ce qu’il y a de plus « ordinaire ». Heureusement il y a une jolie petite crique en bas vers la rivière. Nous tentons la pêche. Sans succès.

Continuons la route… et là … voilà ce que nous attendions… un pont romain à Alcàntara. En plus nous apercevons des chevaliers, qui font partie d’une équipe de tournage sur un documentaire de la ville.

La route continue à Castelo de Vide au Portugal. Nous nous perdons un peu dans le parque de la Serra de São Mamede. Il commence à faire nuit, nous sommes fatigué et pas de Bivouac en vue (pourtant des Campings caristes nous avait parlé d’une Aire CC dans la région).

Pour finir nous suivons un panneau Parque de campisimo et nous arrivons au couché de soleil dans le camping près d’ Alagoa qui prône ses stationnements à la naturelle. La propriétaire nous accueille en français, elle nous indique les places disponibles. Nous sommes contraint de monter haut sur nos cales plus le cric pour dormir +/- à plat. Les enfants attrapent des sauterelles et nous observons de nombreux crapauds.

18 octobre

Nous partons vers midi pour faire la traversée en direction de l’atlantique. Nous passons par Portalegre, Ponte de Sor et suivons la route que Janis (notre GPS) nous indique… en presque totale confiance, comme toujours. Nous traversons une plantation de chênes-lièges et d’Eucalyptus très peu fréquentée. C’est un plaisir pour l’œil et le nez.

La route nous amène à Alpiarça près de Santarèm où nous nous arrêtons dans un petit parc au bord de la rivière. Il a une petite buvette, nous dégustons des petits plats typiques, ne sachant pas le portugais et les personnes présentes parlant pas d’autres langues, nous avons la surprise. Saucisse grillée, fromage de chèvre, omelette, bœuf émincé avec légumes vinaigrés (pas au goût de tout le monde). L’endroit et calme, les gens très sympas, et le parking vide. Nous décidons de passer la nuit ici. SAM !

19 octobre

Nous partons de nouveau en suivant les indications de Janis, en passant à Santarèm elle nous guide vers un chemin Barré (en travaux) nous voulons prendre la déviation, mais un « gentil ? » Monsieur qui vient dans le sens inverse, nous dit de y aller ! Bhin MERCI… la route et non seulement en travaux (ils remplacent les pavés par du goudron) mais en plus c’est exactement a cette instant qu’à lieu une course de cyclistes ! La Police nous demande de nous garer sur le côté et d’attendre !!!! Heureusement ils sont trop occupés par la course !

Le parque Natural Serras de Aire e Candeeiros, n’est pas loin d’ici. Nous profitons d’aller voir la Salinière de Rio Maior (qui est en fonction que l’ été, car la température et la pluie de l’automne ne permettent pas de faire évaporer l’eau et de récupérer le sel) nous voyons les bassins, le puit (eh oui, nous sommes encore loin de la mer… l’eau salée à 200g par litre provient des profondeurs) et nous faisons un petit tour dans les échoppes qui ce sont installées dans les anciennes cabanes de stockage de sel (avec des serrures en bois très particulière).

Le parc Natural a bien d’autres attractions à nous présenter. Nous décidons donc d’aller voir les empreintes de dinosaures dans une carrière près de Berreirinhas. (Nous sommes très surpris par l’accès non protégé !? Nous trouvons des nombreuses traces qui ont chacune une longueur d’environ 40cm).

Il est déjà 17h quand nous continuons la route direction Mira de Aire, pour trouver un bivouac.

nous passons un autre Monsanto

Mãe veut dire Maman en portugais!

De nouveau nous faisons confiance à Janis … qui tout d’un coup nous donne un « raccourcis » sur une piste caillouteux… Andrea n’est pas très chaude, mais Olivier aimerais tenter le coup. Était ce vraiment une bonne idée ? Le chemin traverse un paysage chargé de murailles en pierres, des chemins étroits mais très jolis, sinueux, impossible de croiser un véhicule, tout d’un coup le chemin prend la descente, mais Jerry Lee tient bien la route, les buissons épineux frottent sur les parois du CC… nous devons continuer, une remontée en marche arrière est impossible. IMPOSSIBLE ! Les enfants sont secoué à l’arrière du bus, les affaires tiennent heureusement dans les équipets. Quelle piste !… Allons nous ressortir de là ? Et si il n’y a pas de sortie ? Un virage trop serré… les minutes semblent être des heures et les mètres des kilomètres. Mais où allons nous !? Merci Janis !

Au bout de 30 longues minutes nous arrivons enfin sur une route goudronnée (c’est la route principale que nous avons quitté quelques mètres plus haut!). Ouf, pas de dégâts ! Mis à part quelques raillures sur les parois, mais invisible à l’œil nu. Allons nous trouver un coin pour dormir… nous demandons à des villageois un endroit plat ou nous pouvons stationner la nuit. Ils nous indiquent la route jusqu’au terrain de foot, qui est un peu à l’abandon. Nous posons rapidement notre CC. Repos mérité pour tous ! Bonne nuit !

20 – 23 octobre

Anecdote du jour : Ce matin en partant, Olivier tenait à faire une photo vers la passerelle. Mais pendant ses manœuvres, il a fait marche arrière dans un petit mur et a tordu, heureusement seulement l’échelle et brisé un peu le pare-choc

Il y a de nombreuses grottes dans ce parc. Nous allons voir la plus majestueuse, qui est aussi la plus grande du Portugal. Grutas de Mira de Aire, sa longueur total est supérieure à 11500 mètres, la partie touristique fait 600m. On descend avec un guide à 110m de profondeur par rapport à l’entrée mais le point le plus bas est à 230 mètres. 683 marches plus tard, nous remontons avec un ascenseur. La grotte est magnifique et bien fraîche (17°C).

Nous parcourons quelques kilomètres de plus direction la mer et faisons halte à Pataias dans le camping de Land’s Hause. C’est un énorme camping qui peut accueillir jusqu’à 1000 personnes en été. La piscine est ouverte toute l’année, mais les touristes en cette saison d’automne ce font rares (même très rares, nous sommes 10 clients actuellement). Nous allons rester ici trois nuits, profiter de la piscine (22°C), des douches chaudes, de la Laverie et du bon café que le patron nous prépare…. et à ne pas oublier… du WIFI !

Maé se réveil avec une belle enflure… nous conaissons pas la cause mais heureusement tout redevient vite à l’état normal.

der deutsche text folgt!

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9 octobre

Ça y est, nous partons en direction du Portugal. La route monte dans les hauteurs, la vue serait magnifique, si seulement cette météo !!! Grrr.. nous avons un peu mare de cette humidité et en plus sans le soleil nos affaires sèchent mal. Nous faisons halte dans une station service, mangeons nos Jerry Lee Burgers et décidons de continuer les derniers 40km pour aller directement au Portugal.

Pas de douane… seul un panneau européen nous informe du changement de pays. La ville de Chaves et à 15km de la frontière est apparemment connue pour ses thermes. Nous faisons la rencontre d’un Monsieur qui habite depuis 2 ans au Portugal mais il est né et à vécu près de Lausanne. Au Leclerc une dame porte une Polaire marquée Coop, elle a travaillé et vécu 30 ans à Bellinzona. Quel hasard ! Nous avons vu tellement peu de gens de Suisse ou ayant vécu en Suisse, et ici deux personnes en si peu de temps. (Après 12 jours de sauvage). Nous allons dans un camping pas loin de la ville. Le Gérant nous informe que les bains thermaux sont fermés à cause d’une révision (encore un chantier!). Il nous fait un super prix sur la nuitée… nous décidons de rester deux nuits.

10 octobre

Nous restons dans le camping, faisons la lessive, le nettoyage à fond du Cockpit et du reste, peignons le côté gauche en bleu et écrivons le texte pour le blog. Moment drôle de la journée, nous venons d’ apprendre que le Portugal à une heure de moins. Nous profiterons demain d’ aller en ville pour visiter un peu, voir le touriste information, trouver des cartes sim… etc

9 Oktober

Nun ist es soweit, wir fahren nach Portugal. Die Strasse geht über Berge, die Aussicht währe Traumhaft, wenn nur das Wetter gut wäre!!! Grrr… wir haben die Feuchtigkeit satt. Bei Regen brauchen unsere Kleider länger zum trocknen, die Hunde haben ihren Geruch und wir verbringen mehr Zeit im inneren des Womo. Auf unserem Weg, machen wir einen Halt bei einer Tankstelle und machen unsere beliebten Jerry Lee Burgers …. mjamm.

Weiter geht es… keine Grenze, keine Wache… ausser einem Schild PORTUGAL weist uns niemand darauf hin in ein neues Land einzutretten. Die Stadt Chaves, für seine Therme bekannt, ist nur 15km von der Grenze entfernt. Nach 12 Tagen „Wildcampen“ gehen wir wieder einmal in einen Camping. An der Reception informiert man uns, dass die Therme wegen Renovierungsarbeiten bis Februar geschlossen ist ( Renovierungs arbeiten! schon wieder!) Er macht uns einen super Preis für die Nacht und der Camping ist sehr friedlich und sauber… hier werden wir 2-3 Nächte bleiben.

10 Oktober

Das Wetter ist immernoch sehr wechselhaft, aber wir profitieren vom Ort und waschen unsere Wäsche (die sich ziemlich angehäuft hat) reinigen gründlich das Cockpit und den rest des Womo, bemahlen auch die linke Seite in Himmelblau und arbeiten am Blog. Zudem erfahren wir dass Portugal eine Stunde weniger hat als die Schweiz (wir freuen uns jetzt schon auf die Winterzeit umstellung!) morgen werden wir unsere Wäsche austrocknen lassen, den Blog aktualisieren und einen Sprung nach Chaves machen um eine neue Telefonkarte zu kaufen, ins Touristeninfomrationszentrum zu gehen, etc…

 

Suite du texte….

Le camping de Chaves (où plutôt de VilaNova) nous a accueilli pendant trois nuits. Le gérant était super sympa, il a même offert des glaces aux enfants. Tout les matins à 9h (heure Portugaise… donc 10h Suisse) sauf dimanche, la camionnette du boulanger passe avec du pain et des pâtisseries, irrésistible. Pendant deux jours nous avons eu des voisins supers sympas. Un couple français avec leur fille de deux ans et un chien. Nous avons bien rigolé et discuté, j’espère que nous les reverrons au Portugal ou peut-être nous ferons une halte chez eux à notre chemin de retour en suisse.

A côté du camping il y a un parc gratuit avec divers animaux… faons, faisans (un faisan doré magnifique qui ressemblait à un prince égyptien) des oiseaux, des chèvres, des cochons vietnamiens, des poneys et même des chevreuils… dans des enclos spacieux, bien aménagé.

Samedi nous laissons sécher notre linge et partons en excursion à Chaves. Quel hasard, il y a une fête foraine. Impossible de la contourner… les enfants s’éclatent à merveille. Malheureusement Vodafone et le marchand de gaz sont fermés le samedi après-midi. Tant pis, nous en trouverons ailleurs. La ville et son pont romain valaient la peine d’ être vus. La dame de l’office de tourisme parle très bien le français, nous en profitons pour prendre quelques renseignements.

12 octobre

Dimanche nous levons l’ancre. En route direction Miranda de Douro. Avons prévu de nous arrêter à Bragança, qui se trouve à mi-chemin. Nous sillonnons à travers les montagnes sur la N103. Des châtaigners à perte de vue. L’automne s’installe. Les arbres commencent à changer de couleur. Des petits villages avec des jolies maisons. Il parait que beaucoup d’expatriés sont revenu par ici pour finir leurs jours paisiblement. La météo nous enquiquine ! Quelques kilomètres avant Vinahis la route se transforme en parking, nous entendons des pétards, voyons des gens pique-niquer à côté de leurs véhicules, marchent le long du chemin. Sur quelques centaines de mètres nous continuons cette route et enfin nous voyons la raison. Un village en fête, un marché, une tribune, … c’est la Santa Rita. Ça serait sympa d’y faire un tour, mais nous ne trouvons pas de place de parking à proximité et la route est en pente. Dommages.

Nous continuons notre route, voyons des bergers et leurs moutons, longeons le parc naturel de Montesinho, le paysage est magnifique.

Arrivé à Bragança, nous traversons la ville sur des chemins étroits (interdits aux camions …. mais sommes nous pas un peu camion?) Bref, Olivier aime bien tenter le coup à chaque fois qu’une occasion se présente. Arrivé devant un Bistrot, deux hommes nous font signe, le chemin va être encore plus étroit, mais ça devrait passer… ils nous conseillent tout de même d’aller doucement ! C’est ce que nous faisons. Ils ont dit vrai… c’est étroit… et ça passe. Nous nous arrêtons sur une place de déchargement pour vérifier la suite. Une voiture s’arrête un monsieur sympa nous demande de le suivre, qu’il y a un grand parking quelques mètres plus loin, plus spacieux. Eh oui, il a dit vrai… et ça s’appelle une aire Camping-car.

Nous nous mettons vers les autres, sur une des rare place qui reste à disposition. L’aire CC ce trouve juste au pied de la cité médiéval de Bragança, … ne perdons pas de temps pour aller faire un tour avant une prochaine averse ! Mais Andrea discute avec des voyageurs Suisse-allemand (elle est toute contente 😀 ). Allez… le reste de la famille a hâte d’aller, faire le tour des rambardes. La vieille ville est intact. Pas d’échoppe touristique, juste le Musée militaire ( que nous avons malheureusement pas la chance de visiter, car aujourd’hui nous sommes trop tard et lundi, comme en suisse aussi, presque tout les musées sont fermés au Portugal) et des vieilles maisons soigneusement restaurées par leurs habitants. C’est très authentique. La visite ce fait juste entre les gouttes. Olivier profite de discuter avec un couple de voyageurs breton.. (et a aussi de la peine à s’arrêter). Mais nous retournons au CC avant la nuit. Souper et dodo !

13 octobre

Nous passons à l’office de tourisme pour savoir où trouver un magasin Vodafone, une librairie pour acheter une nouvelle carte routière ainsi qu’une quincaillerie pour des adaptateurs de gaz. En faisons notre ronde, nous passons par le marché et faisons halte au Restaurant Pizzahut (une première ! Bon, mais assez cher).

La route continue… nous en avons mare de la pluie… comme prévu nous continuons notre chemin direction Miranda de Douro mais … en passant par l’Espagne ( voir si le soleil c’est caché de l’autre côté de la frontière 😉 ).

Olivier nous à trouvé un belle piste, pour traverser El Douro. Mais pourquoi d’ un coup une restriction de 15t ? Et quelques mètres plus loin un panneau qui limite la hauteur à 3m !? On va traverser un pont métallique ! Andrea a déjà la boule au ventre… mais Olivier (qui a plus vite le vertige!) dit que « ça passe » ! Soyons confiants… à la vue du pont même Olivier doit se serrer le fesses et nous traversons. IMPRESSIONANT ! Beau… magique ! Si vous passez dans la région, il faut absolument passer par là.

La route continue… nous passons par des petits villages perdus, à la recherche d’une Panaderia et nous en trouvons une à Moralina ! Fermée, le boulanger nous ouvre sa porte en entendant notre passage. Super ! Deux bonnes baguettes… Andrea lui laisse même un pourboire, tellement elle est ravie.

En ne voulant pas tout de suite retourner au Portugal pour cette nuit, nous cherchons un Bivouac tranquille pour dormir.

Au fin fond d’un village nous trouvons une jolie place entre champs et ferme. Une vielle dame a l’air de nous donner l’accord pour le stationnement. La température extérieure est bien basse. Les moutons rentrent au bercail et nous aussi. Bonne nuit.

14 octobre

Le matin nous nous réveillons avec 14°C dans le CC.. glagla… mais après un petit coup de chauffage (à gaz) la température intérieure monte rapidement à 20°C. Dehors nous entendons les cloches des vaches et les moutons. Les champs sont entourés de murs en pierres qui doivent dater du temps des romains. Nous sommes perdus dans le temps. Un petit tour dans le village s’impose. Une vieille fontaine romaine, un nid de cigogne sur le toit de l’église, des maisons en pierres, … c’est beau.

Mais revenons sur notre route et allons à Miranda de Douro. En passant le barrage, nous avons l’impression d’arriver dans un lieu abandonné.

Il y a des bâtiments en travaux, pas une voiture, personne… bizarres… heureusement en montant en direction de la ville, cette impression change. Malgré le peu de touristes, il y a de la vie dans la vieille ville. Nous faisons la connaissance d’une famille de France qui, avec leurs trois enfants, voyagent pendant 3 semaines dans ce pays. Super sympa ! Nous nous retrouvons par hasard dans le même restaurant. Après un bon repas, quelques échanges avec nos nouveau amis, nous allons faire un tour en bateau sur le Douro.

Après une petite croisière en portugais/espagnole (et un petit dépliant en français) nous sommes réconfortés par un vol de rapaces et une dégustation de porto.

 

  

Il est déjà 18h30… nous devons trouver une place pour dormir. Nous continuons de suivre le Douro ( en CC bien sûr 😉 ) mais sans le voir, jusqu’à Bemposta où nous dormons à côté d’un réservoir d’eau, SAM.

15 octobre

Il a plu toute la nuit ! Grrrr…. y en a mare ! Est-ce que nous devons laisser cette partie derrière nous et partir au sud pour trouver un peu de soleil et de chaleur ? Qu’est-ce que nous aimerions encore visiter par ici ? Après nous être renseignés sur la météo, nous décidons d’aller un bout plus bas, mais le temps devrais s’améliorer en fin de semaine. Donc, nous partons direction Monsanto. Nous parcourons 170km jusqu’à Almeida.

La route N221 qui suis le Douro est sinueuse, le paysage magnifique, nous parcourons des kilomètres le long des vergers d’Oliviers, Orangers et de vignes et apercevons enfin les fameux Chênes lièges. Une belle route à faire ! Surtout quand il fait beau ( nous n’avons pas eu cette chance:-( ) Voilà Almeida, une ville fortifiée en forme d’étoile. Nous arrivons juste après la pluie… non, avant la pluie… en fait les deux. La visite nous la faisons avec nos vestes de pluie. Les rues sont presques vides. Andrea ne sort que le petit appareil photo. Nous allons nous réchauffer dans le CC et poursuivons la route. 13km plus loin, nous arrivons à Vila Formoso, par hasard la route nous amène devant une aire CC privée. Nous profitons d’un branchement électrique et décidons de rester ici pour le reste de la journée et d’y passer la nuit.

16 octobre

Départ pour Monsanto !

 

 

 

 

 

 

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3 octobre

Après une nuit sous le bruit des déferlantes, les enfants doivent d’abord faire leurs leçons avant d’aller dans l’eau. Ehh… nous n’avons pas pensé à la marée … à haute mer les vagues s’échouent directement sur les galets, dur, dur pour les genoux et les coudes pour nos débutants surfeurs. Il faut trouver une autre plage. Nous demandons conseil à un couple d’allemands, très sympas qui ont aussi dormi sur place. Ils nous donnent plusieurs endroits sur notre chemin qui doivent être beaucoup mieux.

Nous partons alors direction de la Punta de la Estaca de Bares. Mais n’oublions pas d’aller voir Praia As Catedrais (Playa de Las Catedrales), de nombreuses arches de pierre, sculptées par la mer sont alignées sur 1,5km de sable blanc. Malheureusement nous arrivons trop tôt ! C’est pleine mer. Moralité, nous les admirons depuis les hauteurs…

…mais ne perdons pas de temps et faisant les derniers 60km qui nous séparent de Bares et de sa belle plage de sable.

3 au 5 octobre

Le soir de l’ arrivée sur notre terrasse avec vue sur la mer, nous observons un renard qui fait sa ronde. Avec des petits bouts de restes nous essayons de l’immortaliser en photo… mais il préfère revenir plus tard quand nous sommes déjà couché pour faire le ménage. Nous admirons le levé de soleil et déjeunons face à la mer. Après l’école nous partons profiter de cette immense plage désertique. Malheureusement la météo s’annonce mauvaise. Les enfants fabriquent une tente avec les bâtons de marche et les couvertures, taillent des pierres (découvrent des coquillages fossiles) Andrea travail sur le blog. La journée passe, nous voyons quelques indigènes qui viennent faire une balade par ici (peut-être juste voir qui c’est installé là ?) Le soir venu, il fait déjà nuit lorsque, un petit bus VW ce met sur le parking. C’est une couple Suisse/Espagnole avec leur bébé de 4 mois et leur deux chiens, ils ont des plaques SH. Nous échangeons nos aventures, nos vies, nos voyages. Nous partons le lendemain vers 11h.

5 octobre

La route est belle, nous sillonnons entre les prés, les forêts d’eucalyptus, les petit villages et passons par un grand parc d’éoliennes près d’Ortiguera. Au pied de ses monstres nous sommes tout petit, nous avons même l’impression qu’ils bougent. Mais en fait c’est l’effet entre les nuages qui passent et les pales qui tournent. C’est surprenant !

Nous continuons la route jusqu’à Ferrol, de là nous décidons de prendre l’autoroute pour ne pas arriver trop tard près de Coruña. Nous cherchons un Bivouac vers Sada, mais aucun endroit s’y prête pour dormir à la « sauvage ». Allons même voir au cap. Mis à part un joli Phare et des déjections de lapins sauvages… pas de parking. Nous passons dans des petites ruelles. Affrontons trois grand dos d’ ânes (hop hop) dans une montée à 15 %, heureusement c’est Olivier qui est au volant. Jerry Lee passe partout sans dégâts… ouf ! Allons voir plus près de Coruña. Génial ! A la playa de Bastiagueiro il y a un grand parking, des vagues et même des enfants qui font une école de surf !

Tim passe deux heures dans l’eau à surfer et observer les autres, Maé abandonne l’eau au bout d’ une heure à cause de la température et se réchauffe en faisant un château de sable avec maman. Nous tentons de dormir sur place (parking) SAM (seule au monde) Andrea met le blog à jour. Personne vient nous embêter la nuit est très calme.

6 octobre

Nous partons A Coruña pour voir son phare mythique el Torre de Hercules. La ville est grande et en plus il y a des travaux en direction du phare. Mais vive le GPS qui nous aide à trouver des routes d’ évitements. 231 marches sont à emprunter pour arriver au sommet du Torre de Hercules. Olivier notre capitaine, cède à la tentation et veut oser l’ascension Yes, nous sommes tous arriver en haut. Dommage qu’il pleuve… nous ne voyons pas très loin.

Avec cette pluie continuelle (ou presque), nous profitons d’aller voir l’aquarium à quelques mètres d’ici. La salle Nautilus est la plus spectaculaire, nous avons l’impression d’être derrière une barrière de vitres pendant que les poissons nous observent.

Il est déjà 18h30, nous ne voulons pas rester à la ville pour dormir. En route direction le cap Finisterre. Vers 20h nous passons devant un centre commercial Carrefour. Nous profitons de faire quelques achats… et en fin de compte… pourquoi pas dormir ici ? Il commence à faire nuit et nous sommes tous fatigués.

7 octobre

Journée surprise ! Un ancien collègue de travail à Olivier habite pas loin d’ici. Nous décidons de lui rendre visite.

Mais n’ayant uniquement le point GPS, nous ne pouvons pas lui annoncer notre venue. Tentons le coup. Arrivé devant sa maison nous garons notre « petit » véhicule au bord de la route devant sa porte. Andrea sort du CC et un monsieur sort et dit en espagnol que nous ne pouvons pas rester ici, ce n’est pas un parking. Elle lui dit, vous n’êtes pas José ? Il ne me connaît pas ??? Mais quelle fut sa surprise quand Olivier est sorti du CC ( même si il ne l’a pas reconnu tout de suite, vu son changement de physique à cause de sa maladie et des médicaments).

José nous fais visiter sa maison, voir ses animaux et nous partageons un moment formidable avec lui et sa femme. Nous partons en début d’après-midi, « moment émotion ! »

Allez… vamos au Cabo Fisterra. Mais il est 14h ! Les enfants crient famine ( surprenant après la quantité de biscuits qu’ils ont avalés chez nos amis). Au bord de la route un panneau «  chemin des Dolmens » nous intrigue……….

Aie aie, de nouveau une route… euh piste pour nous ! Bien étroite et surprenante. Les dolmens nous les avons pas vus, mais arrivons en haut d’ une colline vers une chapelle. Pic-nic et petite balade… Maintenant il faut redescendre ! On continue le chemin ( il a l’air plus court puisque nous apercevons un village en contre bas) la route est comme avant étroite… mais arrivé au village nous devons passer entre deux maisons…. c’est vraiment serré ! Tellement serré que Andrea pense pas à faire des photos !!! Jerry Lee passe avec 5cm de chaque côté. Ouffff.

Nous parcourons encore 20km et arrivons au bout de la terre ( comme le pensaient les romains). Le Cabo Fisterra ! Une légère pluie nous tombe dessus, le phare n’est pas visitable, il y a beaucoup de touristes, mais la vue est belle (par moment) et le lieux mythique. Le soir arrive…allons nous voir ce fameux coucher du soleil ? Malheureusement pas 🙁 trop de nuages nous gâchent le spectacle. Nous dormons sur le parking surplombant la falaise prévu pour CC, balayé régulièrement par la lumière du phare et bercé par les rafales.

Météo du Cabo Fisterra : mer agitée, 25 noeuds de vent avec rafales.

8 octobre

La météo ne va pas améliorer, ils annoncent 65noeuds dans l’après-midi. Levons l’ancre et allons voir Santiago de compostel.

Quelle bonne idée !? Pendant presque une heure nous cherchons une place pour se parquer. Ohlala ! Même en voiture cela ne dois pas être évident. Au bout d’un moment… déjà rongés par les nerfs… nous décidons de nous garer à l’écart devant le centre social. Tant pis, nous irons en bus ou taxi ! Mais après renseignement il s’avère que nous nous trouvons à 10 minutes à pied de la cathédrale. FORMIDABLE 😀

Arrivés dans les arches marchandes qui entourent le lieu, la faim nous amène dans un de ses nombreux restaurants. Le Gastrobar l « Elefante » aux airs un peu indien nous propose des mets intéressant ( humus, crêpes poulet/ananas, salade et calamars). C’était bien bon. Maintenant allons voir ce Monument qui attire tous ces pèlerins du monde entier. Malheureusement pour notre œil les deux tours de la cathédrale sont en chantier ( mais ça se voit, elle en a bien besoin) L’édifice est gigantesque, nous admirons le travail des détails, martelés dans la pierre, sculptés en bois ou forgés dans le métal. Seul les nombreux visiteurs et le chantier nous ramène dans notre époque.

Il recommence de nouveau à pleuvoir. Nous profitons d’aller boire un café dans une pâtisserie pour attendre une accalmie. Mais le temps n’y fait rien, nous retournons au CC sous une légère bruine.

A l’office de tourisme on nous a donné des adresses d’aires camping-car, dont le plus proche ce trouve à Santiago. Allons donc la voir… mais quelle surprise, l’aire avec borne CC coûte 12,50 Euro et comme nous sommes arrivé avant 20h il faut payer 3,50 Euro supplémentaire ! Malgré la gentille proposition de la dame d’accueil de revenir dans 30min pour économiser les 3,50 Euro nous ne voulons pas débourser un centime pour ce parking nu.

Nous partons direction le sud. Nous trouvons une aire CC à Pontevedra. C’est pas très beau après la pluie et nous sentons des odeurs fortes remonter de la mer. Mais c’est gratuit et nous avons une borne à eau et vidange à disposition. C’est tout ce que nous recherchions pour ce soir.

 

3 Oktober

Nach einer wellenschlagenden Nacht, müssen die Kinder erst ihre Schularbeiten erledigen, bevor sie ins Wasser dürfen. Ohhh… wir haben nicht an die Flut gedacht… bei Hochwasser brechen die Wellen direkt auf dem Kieselrand, für die Knie und Elenbogen unserer Surf-Anfänger ein nicht so angenehmes Abenteuer. Wir müssen an einen anderen Strand. Wir fragen unsere Nachbarn um Rat, ein nettes deutsches Pärchen gibt uns einige Tips auf unserer Reiseroute welche besser geeignet währen für unsere Jungmanschaft. Los geht es Richtung der Punta de la Estaca de Bares. Aber wir vergessen natürlich nicht einen Halt an der Praia As Catedrais (Kathedralen Strand) ein zu legen. Zahlreiche Steinbögen, vom Meer gestaltet sind hier auf 1,5km aufgereiht. Leider kommen wir etwas zu früh vorbei, die Ebe ist noch nicht ganz erreicht und wir können nicht dem Strand entlang laufen, aber das hindert uns nicht die Steinskulpturen von oben her zu betrachten. Doch wir wollen keine Zeit verlieren und fahren noch die bleibenden 60km bis nach Bares und dessen traumhaftem Sandstrand.

3 bis 5 Oktober

Am Abend unserer Ankunft, auf unserer Terasse mit Meeresblick, durften wir mit begeisterung einen Fuchs beobachten, welcher hier sein Revier hat. Mit kleinen Leckerbissen haben wir versucht das wilde Tier Fotografisch fest zu halten… aber anscheinend mag er keine Paparazis und bevorzugte es, später, als wir schion im Bett lagen, eine kleine Runde zu drehen um unsere Terasse zu säubern.

Die Sonne geht über dem Meer hoch, wir geniessen diesen farb-intensiven Moment. Nach den Schularbeiten geniessen wir den langen Sandstrand, für uns allein. Leider ist heute schlechtes Wetter angesagt. Die Kinder bauen sich ein Zelt mit den Wanderstöcken und ein paar Decken, zerschlagen Steine (und finden dort einige Muschelfossilien) Andrea arbeitet am Blog. Der tag vergeht in Windeseile, ab und zu sehen wir Einwohner des Fischerdorfes die sich die Füsse bis hierhin vertreten (aber wir denken dass sie vorallem wegen unserer präsenz sich bis hier hin bemüht haben). Schon ist es Abend, und bei Finsternis überrascht uns ein kleiner VW Bus, welcher sich in unsere Nähe stellt. Es ist ein Schweiz/Spanisches Pärchen mit einem vier Monate alten Baby und zwei Hunden. Sie kommen aus Schaffhausen. Wir tauschen unsere Erfahrungen, sprechen über die Reisen und unser Leben ( in einer Mischung aus Schwiizerdütsch-Englisch-Spanisch und Französisch). Am nächsten Morgen verlassen wir die Bucht um ca. 11 Uhr.

5 Oktober

Die Fahrt ist schön, wir fahren durch Eukalyptus-Wälder, über Felder (also eher gesagt zwischen den Feldern ;-)) durchqueren kleine Dörfer und einen grossen Windradfeld (wie sagt man dem genau??) in der Nähe von Ortiguera. Am Fusse dieser Giganten fühlen wir uns sehr klein, wir haben sogar das Gefühl, dass die Riesen sich bewegen. Aber das ist eine optische Täuschung weil das Rad sich dreht und die Wolken sich im Hintergrund bewegen. Überraschend!

Wir fahren weiter bis nach Ferrol, von da aus nehmen wir die Autobahn um nicht all zu spät in der Nähe von A Coruña zu sein. Bei Sada, suchen wir vergeblich nach einem Übernachtungsplatz. Auch beim Leuchtturm hat es keien Parkplatz der sich zum Wildcampen eignet.

Wir verirren uns in kleinen, engen Strassen, meistern steile Strassen welche mit Hophop’s (oh ja, wenn ich das jetzt auf Deutsch wüsste… ich spreche von den Verkehrsbremsern, die mühsamen Hügel..?) doch zum Glück ist Olivier am Lenker und macht das mit Links. Jerry Lee übersteht die Fahrt ohne Schaden… Glück gehabt!

Na, wenn es hier nichts gibt, dann fahren wir näher zu A Coruña. Genial, an der Playa de Bastiagueiro gibt es einen grossen Parkplatz, Wellen und sogar eine Surfschule die mit Kindern am üben ist!

Tim verbingt zwei Stunden im Wasser mit seinem Bodysurf und beobachtet die andern, Maé verlässt das kühle Nass (20°C) nach einer Stunde und erwärmt sich am Strand mit einer Sandburg. Wir versuchen auf dem Parkplatz zu übernachten. Es hat kein Schild welches das parkieren oder übernachten mit Wohnmobilen verbietet. Andrea verbringt die halbe Nacht damit Bilder auf den Blog zu übertragen. Die Nacht ist ruhig und ungestört.

6 Oktober

Wir fahren nach A Coruña um den mytischen Leuchtturm el Torre de Hercules zu sehen. Die Stadt ist riesig und eine riesige Baustelle verbaut den Weg bis zum Leuchtturm. Aber zum Glück haben wir einen GPS, welcher uns einen neuen Weg berrechnet.

231 Stuffen muss man bewältigen um bis nach oben auf den Turm zu kommen. Unser Kapitän Olivier kann der versuchung nicht wiederstehen und meistert diesen Aufstieg. Super! Wir sind alle oben und geniessen den Weitblick…. oh, hab ich Weitblick gesagt!? Nein, leider regnet es! Bei diesem Wetter ist auch ein Stadbesuch nicht sehr angenehm, wir wendne uns dem Aquarium zu, welches nur ein paar hunder Meter vom Torres de Hercules entfernt ist.

Wir sehen schöne Fische, Robben und sogar einen grossen Haifisch im Nautilus Raum.

Und schon ist es 18Uhr30, wir wollen die Nacht nicht in der Stadt verbringen und fahren weiter Richtung Cabo Fisterra. Um 20Uhr erreichen wir das Ende der Autobahn und machen beim Einkaufszentrum Carrefour halt um ein paar Notwendigkeiten zu beschaffen… und Schlussendlich… wieso nicht gleich hier übernachten? Es ist schon spät und wird dunkel und zudem sind wir alle müde.

7 Oktober

Tag der Überraschung! Ein ehemaliger Arbeitskolleg von Olivier wohnt hier ganz in der Nähe. Wie entscheiden und spontan bei ihm vorbei zu schauen. Als wir vor dem Haus parkieren schiesst er aus der Tür und sagt Andrea auf spanisch, dass wir hier nicht halten können, es sei privat. (Sie hatten sich nur kurz einmal in der Schweiz gesehn!) Dann sagt Andrea zu ihm … aber sind sie nicht José? Als Olivier dann hinter dem Wohnmobil hervor kommt ist die Überraschung gelungen. (ob wohl er auch Olivier nicht sofort erkannt hat, wegen der Krankheit und den Medikamenten hat er sich doch etwas verändert). José zeigt uns sein Haus, seine Tiere, spendiert uns Kaffe und Keckse. Wir verbigen einen schönene Moment in Geselschaft seiner Frau. Nun ist es Zeit, wir verabschieden uns und bedanken uns. Ein emotionaler Moment.

Los geht’s… vamos au Cabo Fisterra. Doch nun ist 14 Uhr (spanische Essenszeit) und die Kinder haben schon wieder Hunger (dabei haben die sich doch bei José mit Kecksen voll geschlagen!?). Suchen wir uns eine kleine Rasstätte… eine Tafel mit „Dolmen weg“ darauf geschrieben kommt uns gerad gelegen. Doch wir fahren mehrere Kilometer ohne einen Dolmen, noch eine andere Tafle zu sehen. Und dann auf einmal ein Schild mit einer Kapelle. Lass uns dort mal hinfahren. Schon wieder eine dieser engen Strassen. Links und Rechts biegen sich Farnblätter über die Steinmauern. Aber auch in der Höhe klappts. Ein Märchenhafter Ort. Wir Picknicken und machen einen Rundgang. Jetzt müssen wir hier wieder runter kommen! Auf der anderen Seite haben wir einige Dächer erraten… fahren wir den Weg doch einfach weiter. Er ist immernoch eng und wir hoffen keinem Fahrzeug zu begegnen. Aber erst recht knapp wir es als wir am Dorfende ankommen. Links eine hohe Mauer und rechts liegen grosse Steine und die Hauswand endet am Strassenrand. Es bleiben nur so wenige cm auf beiden Seiten dass Andrea vor lauter Sorge nicht einmal die Kamera zückt. Aber wir kommen ohne Krazer durch und die Reise kann weiter gehen. Nach 20km sind wir am „Ende der Welt“, an der Costa do Morte. Das von Mythen umwobene Cabo Fisterra. Der Ort an dem die Sonne „stirbt“ lies schon Kelten, Römer und Jakobspilger erschaudern.

Es regnet leicht, der Leutturm ist nicht besichtbar, es hat zahlreiche Touristen, aber die Aussicht ist schön (zumindest Teilweise) und der Ort ist mytisch. Werden wir heute Abend den Sonneuntergang sehen? Leider nicht wirklich. Die Regenwolken verderben das Schauspiel.

Wir schlafen auf dem Parkplatz, regelmässig vom Scheinwerfer des Turms erleuchtet und von starken Windböhen geschaukelt.

8 Oktober

Die Wettervorhersage ist schlecht, der Wind wird am Nachmittag noch stärker. Wir wollen die Kathedrale und die Altstadt von Santiago de Compostela besuchen.

Was für eine gute Idee!? Während knapp einer Stunde suchen wir einen Parkplatz vergebens. Die Nerven schon angenagt, entschliessen wir uns etwas weiter entfernt, vor dem Sozial Haus unser Wohnmobil stehen zu lassen und irgendwie mit Bus oder Taxi in die Altstadt zu kommen. Doch nachdem wir uns erkundigt haben, befinden wir uns nur knappe 10 Gehminuten von der Kathedrale entfernt. SUPER. Wir machen eine Halt in der gastrobar „Elfante“ und geniessen orientalisch angehauchte leckereien wie Humus, Crepe mit Poulet und Ananas, Salat und Tintenfisch. Weiter geht es auf einen Kirchenrundgang. Unglaublich wie viele Pilger diese Stadt anzieht. Leider ( für unser Auge schade, aber notwendig ist eine Renovierung sichtlich) sind die Türme der Kathedrale verhüllt, und auch im innern sind Bauarbeiter am Werk. Wir bewundern die zahlreichen details, in Holz geschnitzt, in Stein gemeiselt oder au Eisen geformte Werke.

Schon wieder beginnt es zu regnen. Wir nutzen die gelegenheit um in einem Kaffe halt zu machen und abzuwarten. Doch leider bringt auch die Zeit keine Besserung… wir pilgern bei leichtem Regen zu unserem Jerry Lee zurück.

Im Touristeninformationszentrum haben wir eine Liste mit Abstellplätzen für Wohnmobile erhalten. Der naheliegenste ist in Santiago selbst. Wir fahren um 19Uhr zu dem Parkplatz. Die Dame am Schalter verlangt 12,50 Euro für die Nacht und zusätzliche 3,50 Euro weil wir vor 20 Uhr ankommen. Obwohl sie uns das Angebot macht in 30 Minuten wieder zu komment um die 3.50 Euro zu sparen fahren wir weiter. Für diesen shclichten Parkplatz, ohne WC oder Dusche geben wir keinen Cent aus! Wir fahren weiter Richtung Süden. In Pontevedra finden wir einen Womo-Abstellplatz mit Wasser und Abwasser Station. Der Ort ist nicht gerade schön nach dem Regen und wir kriegen einige Meeresdüfte ab. Aber es ist Gratis. Und wir haben alles was wir für heute benötigen.

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29 et 30 septembre

La nuit fut très calme. L’endroit est si beau qu’on resterait bien une nuit de plus. Mais manque de chance nous n’avons plus de lait et le frigo ressemble au désert de Bardenas. Donc nous quittons cette crique et continuons la route jusqu’à Santander. Dans le grand centre commercial nous trouvons tout ce que nous avons besoin ( et plus encore ! Faut jamais aller au commis avec toute la famille 😉 ).

La ville de Santander est grande, le tour en CC et la visite de la plage nous suffit, nous préférons trouver un endroit sympa pour bivouaquer. Allons voir ces fameuses dunes dont parle le guide.

Un spot pour de nombreux surfeurs et surfeuses. C’est génial !

L’accès à la mer est beaucoup moins pentu qu’à la crique isolée. Le sable est fin, les surfeurs ( allemand, français, espagnole et même suisse) sont très sympa. L’ambiance nous plaît, les enfants courent, creusent et roulent dans les dunes (les chiens aussi!). Le frigo déborde, nous allons rester là !

1^er octobre

Aujourd’hui nous voulons nous instruire un peu sur la préhistoire. Les cuevas d’Altamira ce trouvent pas loin d’ici au début des Pics d’Europe. Nous ne pouvons malheureusement pas voir la vraie grotte (il y a eu tellement de visites que les peintures murales s’endommageaient) Mais heureusement ils ont créé ce musée avec une reconstruction très précise de la grotte et de ses peintures. Super !

Nous quittons la Cantabria ! Nous longeons la côte, les pics à gauche et la mer à droite, ce paysage est à couper le souffle. A peine arrivés en Austrias nous remarquons ces petites cabanes près des maisons ( des garde-manger typique de cette région) .

Nous nous arrêtons à Colunga pour profiter d’une aire pour CC avec eau/vidange qui est à côte d’une station service. Mais d’où vient ce bruit de chaton ? Nous alertons le gérant de la station en pensant qu’un chat est enfermé dans les douches (pour les camping caristes… d’ailleurs qui a envie d’une bonne douche chaude ?). Il nous raconte que le chat est arrivé en clandestin, sous le capot d’un camion. Le chauffeur a nettoyé son véhicule et le chaton en est sorti. Après avoir mis quelques croquettes et de l’eau à disposition, un petit chaton siamois est sorti de dessous les cabines de douche. Malheureusement, il est impossible pour nous de le prendre. Nous lui laissons un bon repas et prions pour que le gérant ne l’abandonne pas.

Pas loin d’ici se trouve un delta, (Rodiles) nous allons voir si c’est possible de bivouaquer à la plage. Il y a déjà quelques bus de surfeurs installés sur le parking, nous les rejoignons pour la nuit.

2 octobre

La plage est belle, les enfants profitent de ramasser quelques cailloux pour faire de l’art préhistorique (aie, ils sont coupants!). Et quelle fut la surprise quand nous retournons au camping car… les suisses de la plage aux dunes viennent d’arriver. Dommage, nous n’allons pas rester là, surtout que les enfants demandent qu’une chose, c’est d’essayer une planche et aller sur les vagues. Donc, perdons pas de temps … en route pour le magasin de sport Décathlon à Gijón! Mais avant d’aller essayer les Body-surfs, nous faisons un petit détour pour voir le Cabo de Penãs, c’est beau !

Nous partons direction Luarca à la recherche d’un Bivouac pour la nuit avec plage à vagues. Le temps passe, la côte est très tortueuse et les plages accessibles sont rares. Nous essayons de suivre un panneau PORT en espérant de trouver un bivouac. Mais quelle surprise, la route s’arrête au fond de la vallée devant un tunnel d’une hauteur d’environ 2m20. Permettant juste le passage de machines de chantier. Nous le traversons à pied sur une longueur de 200m env. ! Mais où sommes nous ? Un port fantôme !! Brrrrr…

Vite demi-tour et continuons nos recherches. 30 minutes plus tard, nous trouvons enfin une plage vers Cadavedo, avec vagues…et quelles vagues ! Elles sont grandes et puissantes. Il y a des surfeurs au large. Les enfants sont heureux.

Text in deutsch folgt…. versprochen!

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Ah… juste avant de continuer la route, j’ai oublié la petite anecdote des jours passés. En visitant le désert, nous voulions manger une glace (de notre congélateur) et nous nous sommes aperçu que la consistance n’en était pas terrible. Après contrôle de la température du frigo/congélateur, nous avons constaté que le frigo n’as pas eu d’alimentations depuis environ 24h. Du coup, par précaution, nous avons cuit ce qui fallait cuir et jeter ce qui fallait jeter. Depuis le fusible est protégé par une coupole et ne peut plus être bougé par une poignée de casserole. Et nous contrôlons plus régulièrement la température 😉

15 septembre

Nous sommes partis vers 18h du camping de Bardenas. Avons pris l’autoroute (vu le départ tardif, après avoir mis le blog à jour). La vue est belle, mais défile vite. L’avantage en Espagne (ou sur ce tronçon) malgré que cela soit payant… plus le véhicule est grand moins nous avons à payer. Nous passons la nuit sur l’air de CC Berriozar à Pampelone. Elle est bien isolée, au calme. Mais après l’air plutôt pur des Bardenas (bon, un peu infesté par les mouches et les moustiques, j’avoue) nous trouvons la ville bien polluée.

16 et 17 septembre

Le réveil nous rappelle des souvenirs de Suisse, nous nous trouvons à côté d’une école, tous les élèves arrivent accompagnés de leurs parents (surtout des mamans) … un déjà vu. Nous attaquons aussi l’école, mais préférons partir de là pour aller voir l’Atlantique… en route pour Mutriku.

La route passe par des petites montagnes, les pentes sont assez raides. Nous sillonnons à travers le paysage. C’est très joli. Halte à Tolosa. Allons manger dans un des seuls restaurants que l’on trouve ouvert et avec une terrasse. Menu du jour et Tapas. Quelle drôle de langue le basque… nous qui commencions à comprendre un peu mieux l’espagnol 🙁 Les enfants s’amusent sur des places de jeux super bien aménagées.

La route continue sur le col. On aurait pu prendre l’autoroute, mais c’est trop beau … profitons du paysage le long des rivières et à l’ombre des arbres.

En fin de journée, nous apercevons enfin l’Atlantique. Sur les hauteurs de Mutriku, nous apercevons une foule, un taureau court, ils font la fête. Nous préférons continuer et trouver un bivouac au bord de mer, tranquille. La playa de Saturraràn, quelques mètres plus loin, est idéale. D’autres Camping-caristes sont alignés sur la place prévue. A peine notre CC en place, les enfants ont déjà les pieds dans le sable ,voir même les habits détrempés. Quel endroit merveilleux, et peu de visiteurs.

Nous passons deux nuits ici. La météo nous joue des tours. Un fort orage, nous avons l’impression de passer dans une machine à laver, le beau temps revient, nous allons à vélo visiter la ville d’Ondarroa. Aie… le retour se fait sous une pluie tombante, nous sommes détrempés.

18 septembre

Nous partons de cette belle plage pour de nouvelles aventures… Nous avons trouvé une aire CC à Bermeo.

Elle se trouve entre le terrain de foot et le cimetière. Le grand terrain à côté est le lieu de rendez-vous des propriétaires de chiens. Chef et Chiva en profitent pour faire des nouvelles rencontres. Olivier fait voler son Drône et Tim joue avec sa voiture téléguidée.

 

19 septembre

La route continue, nous traversons des forêts d’eucalyptus, longeant la côte. Décors et senteurs magnifiques. Andrea veut nous amener voir la chapelle de San Juan de Gaztelugatxe, qu’elle a vu dans un guide. Mais elle se trompe de route et nous amène tout droit au Cabo Matxitxako par une route comme on les adore. La pointe avec son phare est au top, en plus nous pouvons admirer au loin ce fameux rocher avec la Chapelle dessus

Donc après ce petit détour, nous prenons le bon chemin qui nous amène au parking du restaurant, qui fait le départ de la balade (ai je bien dit balade??) Après quelques mètres en contrebas Olivier dois abandonner… de peur ne plus pouvoir remonter… ça descend sec. Mais avec les enfants, Andrea continue ce trek. Une heure plus tard, après être descendu au pied du rocher et remonté les 231 marches nous arrivons en haut vers la chapelle et sonnons la cloche. Un lieu magique où les marins venaient prier et remercier San Julian. La sueur en valait la peine. Après une pause nous redescendons. Mais la remontée de la côte fut encore plus dur, Maé nous fait un petit coup de chaleur. Andrea la porte un bon bout pour retrouver rapidement Olivier.

Arrivés en haut nous décidons de rapidement trouver un bivouac. Le parking de la plage Bakio est idéal.

20 septembre

Après cette journée forte d’émotion de hier, nous décidons d’aller directement au Camping de Sopelana. Nous prenons des petites routes sympa… encore et encore des eucalyptus, des virages…. des villages, une vieille usine de pétrole abandonnée, des plages, etc…

Arrivons vers 15h dans le camping avec piscine, resto, accès plage à 5 min. et pas loin du métro qui va à Bilbao.

20 au 27 septembre

Nous séjournons ici à Sopelana une semaine. Olivier devant rejoindre la suisse du 23 au 26 pour ses traitements, Andrea et les enfants profitent de la plage, visitent Bilbao ( une fois avec Olivier, pour repérer Métro et Bus pour l’aéroport), le musée Guggenheim, deux jours de piscine (jusqu’à la fermeture annuel 🙁 ) font l’école et tout les tâches habituelles d’une journée bien remplie.

 

 

28 septembre

Nous partons du camping, pleins d’eau et vidange faits. Nous allons voir le féerique château de Butrón, ou devrais je plutôt dire la ruine. Car manque de tourisme, le château a fermé ses portes en 2005 (?) et depuis il est laissé à l’ abandon, dommage !

Nous continuons notre route direction Portugalete. Ici est construit le pont de Biscaye. Petite balade et visite s’imposent, nous traversons une première fois le delta en prenant une petite barque. De l’autre coté les terrasses invitent à prendre notre repas sur place. Pour le retour nous avons bien envie d’essayer l’ascenseur horizontal. Pourrions nous aller en CC dessus ? Andrea pose la question au technicien sur place. No problemo ! Cool, nous tentons l’expérience, les enfants sont ravis.

En route direction Santander… il est 18 et nous cherchons un lieu pour passer la nuit. De village en village un panneau Playa de San Juliàn attire notre attention. Après quelques centaines de mètres sur une route incertaine nous arrivons sur un parking isolé qui surplombe la mer, les falaises et une petite plage.

Mar Cantábrico

Oh… noch bevor ich fortfahre, ich habe eine kleine Anektote der letzten Tage vergessen. Den während unserem Besuch der Wüste, wollten wir ein Eis (aus unserem Tiefkühler) geniessen und wir mussten feststellen, das die Konsistenz nicht gerade ideal war. Nach einer Temperatur-Kontrolle, mussten wir mit bedauern feststellen, dass unser Kühlsystem, seit ungefähr 24h ausser Betrieb ist. Deshalb mussten wir Vorsichtshalber unseren gekühlten Vorrat, sofort kochen oder wegwerfen. Sether haben wir den FI Schutzschalter mit einem Deckel versehen, damit wir ihn nicht wieder versehentlich ausser Betrieb setzen. Wir haben damit auch gelernt, dass wir nicht all zu viel Vorrat und vorallem regelmässige Temperatur-Kontrollen machen 😉

15 September

Wir haben den Camping von Bardenas um ca. 18 Uhr verlassen. Sind auf die Autobahn (weil wir wegen dem Blog update, ziemlich späht dran wahren) . Die Aussicht ist schön, aber zieht schnell an uns vorbei. Der Vorteil auf dieser Strecke, obdoch die Autobahn kostenpflichtig ist… je grösser das Fahrzeug, desto weniger zahlt man ! Wir verbringen die Nacht auf dem WoMo-Abstellplatz Berriozar in Pampelone. Er ist abgelegen und ruhig. Doch nach der doch eher klaren Luft (abgesehen von den vielen Mücken und Fliegen) empfinden wir die Stadtluft als sehr verschmutzt.

der rest des Textes in deutsch folgt….

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6 septembre

Nous plions nos affaires et partons… sortons de Sort… la route est encore plus incroyable, plus belle … différente. Traversons des tunnels insolites, passons sur des chemins de traverse pour profiter de la vue. Après avoir admiré le lac aux couleurs turquoises,  nous nous arrêtons dans un charmant resto à Pont de Suerte, le patron nous présente son menu en faisant visiter les plats exposés sur la table de la cuisine ( à la Grecque, pour les connaisseurs) super bon… miamm ! Le prix aussi … oups.

 

 

(petite correction les photos Resto et Lac étaient prises à Pont de Suerte)

Vers Bonansa, nous profitons d’un super sentier, aménagé pour les handicapés, au milieu des pins et des chênes avec plein d’explications sur la nature. Trop bien.

Décidons de nous arrêter à la citadelle d’Ainsa pour y passer la nuit, quelle bonne idée, nous arrivons en pleine foire agricole, c’est beau au milieu de cette ville moyenâgeuse. Dégustons des mèlocôs (pluriel de mets local) … même plus besoin de se faire à manger le soir venu, nous allons directement au dodo. J’oubliais… avons de nouveau eu droit à la grêle !

7 septembre

Ça se calme au niveau des cols. Mais ça monte et descend toujours… et si c’est trop plat… eh bien Olivier trouve toujours moyen de nous emmener voir quelque chose de sympa, mais sur des routes, pardon des pistes juste praticable avec un 4×4 ! Vive nos nouveaux amortisseurs pneumatiques, ce fut une excellente idée de les mettre, suivant les endroits, nous arrivons à surhausser le CC et éviter qu’il talonne, ou se plante dans les ornières.

Enfin tout ça pour dire … visite à Lecina d’un arbre millénaire, traversée d’un village où il faut presque rentrer les rétros et mesurer la hauteur des balcons pour y passer… mais ça joue (Olivier est un excellent capitaine qui connaît bien son navire!)

  

 

 

 

Arrivons dans la Sierra Guara et ses canõnes. Passons par Alquézar belle ville médiéval que nous n’aurons malheureusement pas l’énergie de visiter, mais la vue est belle.

En route direction Rodellar… une piste tortueuse nous amène jusqu’à un panneau qui indique … camping El Puente et à côté un autre panneau ! descente 12 %! 800m- Vu d’en haut ça doit jouer et nous devrions être au fond du canyon… Yessss.

Yes, vite dit ! Frein moteur -frein pied-les arbres- les ornières- les trous – OK ! On maîtrise.

Bon, je ne sais pas si on remontrera, mais assez d’émotions pour aujourd’hui.

L’endroit et charmant, au bord de la rivière au fond d’un canyon… but atteint.

  

Eau claire, poissons, pont romain, zéro bruit. ET ! Le déluge.. puissant orage avec éclairs incroyable et ça pour toute la nuit. Bonne nuit !

8 septembre

En juillet et août, cet endroit doit accueillir beaucoup de monde, surtout grimpeurs, trekkeurs et canyoneurs. Mais ces jours pas grand monde à part une petite grand-maman, qui vient avec ses Chuppas (sucettes) pour les enfants, nous raconte sa vie et demande : vous savez quel âge j’ai ? On lui donne facilement 80 ans, mais elle trotte et fait plein d’activités ? Olivier lui dit timidement heu…. 75ans ? Là elle répond, mais vous rigolez, c’est l’âge de ma fille… !

Ballade et baignade dans le canyon qui a malheureusement changé de couleurs cette nuit au lieu d’un bleu transparent, nous nous contentons d’un rouge cacao (normal après l’orage!)

9 septembre

Deux nuits dans cet endroit magique, ça ressource un max. Après avoir rangé notre maison, nous faisons chauffer Jerry Lee (ou plutôt son moteur), il nous faudra toute sa puissance pour nous ressortir de là ! Et nous nous lançons dans cette folle montée, sans aucun problème, ça passe comme une fleur, et le chemin nous parait plus court ??

Fond du canyon, rien ne vaut les hauteurs après ça, direction Castillo de Loarre, où perchent des vautours, superbe vue, superbe château bien conservé, superbe visite. Dormons sur le parking, comme souvent seul au monde (parmi des milliers de mouches).

10 septembre

Ils sont tous alignés, ils nous surveillent … une douzaine de vautours, posés sur les rochers à quelques 50-100m de nous… tout naturellement. Olivier veut les voir voler de près et aussi nous montrer les Mallos de Riglos (qu’il a découverts sur le net… fabuleux internet).

Partons donc pour une nouvelle aventure direction le mirador des vautours. Il existe une piste à travers la montagne, qui amène à un observatoire (il parait?). Après avoir passé un village aux virages carrés, aux maisons serrées, aux habitants ébahis (ne doivent pas voir beaucoup de CC ici ?) Nous escaladons la montagne, en espérant de ne pas s’être trompé de chemin et de ne pas devoir croiser un véhicule, certains endroits sont un peu limite … nous ne pouvons faire demi-tour et redescendre en marche arrière pas question… allez hop en avant!

Stop à la ruine qui surplombe le panorama. Sur le panneau il reste 2 km pour l’observatoire. On les fera à pied, surtout que la piste longe la falaise et Olivier a déjà le vertige. Armés de ses deux battons, nous partons à l’assaut des derniers mètres. Il fait chaud… mais quel fut pas notre plaisir de voir dessus, dessous et à côté tous ses vautours planant féerique, (nous avons bien fait de faire les derniers mètres à pied je pense). Le paysage est grandiose, nous surplombons les Malos, les vautours, Riglos, observons les endroits où nichent les oiseaux, faisons pleins de photos.

Toute bonne chose ayant une fin, nous redescendons la montagne, après avoir fait l’école avec les enfants en pensons fort à leurs copains de classe qui sont certainement enfermé entre quatre murs … croisons personne.. ouf !

Direction Riglos où nous passons la nuit au pied de ces Malos majestueux.

11 septembre

Quel moment bizarre, avons passé la nuit devant ces grande tours (donc n’oublions pas de souhaiter un bon anniversaire de mariage aux parents d’Andrea). Et après encore quelques photos, nous partons sur le désert de Bardenas, encore et toujours des paysages incroyables, faisons étape dans le camping de Bardenas, avec piscine et jeux pour les enfants, quel plaisir et quel détente (en tout cas jusqu’à 21h… l’heure où les moustiques paraissent affamées et nous laissent des belles marques en souvenir).

12 septembre

Journée dédiée à l’école, piscine, nettoyage et repos 🙂

13 septembre

Visite du désert, site très protégé, encore et encore des paysages, de la piste, de la chaleur etc, etc, etc… et des photos.

Sur le retour arrêt au monastère Oliva… pique-niquons  à l’ombre des arbres du parking. Nous retournons à Arguedas pour passer au magasin Chinois du coin que nous avons remarqué ce matin (il y a toujours des bonnes affaires). Bien sûr nous arrivons avant l’heure d’ouverture (eh oui, même les chinois espagnols font la sieste). Allons boire un verre dans un bistrot sympa. Halte-Photos dans un resto en ruine qui était tagué avec des drôles de personnages.

Direction Valtierra où nous espérons voir les maisons troglodytes. Nous ignorons volontairement le panneau de déviation mal placé et arrivons à l’entrée du village ou tout semble barricadé. Mais en nous voyant arriver deux Messieurs nous ouvrent le portail en bois et nous font passer à travers ce petit village entièrement clôturé (les routes) avec des gradins pleins de spectateurs (nous entrons en scène!?) Jerry Lee est acclamé… nous ne comprenons pas… nous nous renseignons… lâché de taureaux dans 20 min !!! Halte, il ne faut pas louper ça. Nous allons assister à cette manifestation traditionnelle. Sommes impressionnés mais aussi un peu attristés pour ces taureaux.

 

14 septembre

Le temps passe vite ! Il faut mettre le blog à jour. Nous passons presque toute la journée à mettre ces quelques ligne au propre et trier les photos, pendent que les enfants profitent de la piscine.

Aragon & Navarre

6 September

Wir packen unsere Sachen und fahren los… die Landschaft ist noch unglaublicher, schöner … anderst. Wir fahren durch einzigartige Tunnels, nehmen Nebenstrasse um die Aussicht zu geniessen und nach dem wir auch den türkisblauen See ins Bild gefasst haben, machen wir in einem charmanten Restaurant in Pont de Suerte halt. Der Besitzer öffnet uns die Tür zur Küche und stellt uns die diversen Tagesgerichte vor, lecker… der Teller wird schnell leer ! Aber die Geldbörse auch.. oups.

In der Nähe von Bonansa entdecken wir einen tollen « Wanderweg » durch den Wald. Speziel für Behinderte eingerichtet, ist der Weg, die Pflanzen und Bäume sehr schön erklärt und wir tasten uns durch die zahlreichen Anhaltspunkte. Super.

Die Nacht wollen in Ainsa verbringen, welch guter Entscheid, den in dieser mittelalterlichen Altstadt findet dieses Wochenende eine Landwirtschaftsmesse statt. Nachdem wir mehrer Spezialitäten aus der näheren Umgebung probieren durften waren wir sogar so satt, dass wir direkt von der Messe ins Bett rutschten. Ach, und was ich noch vergessen habe… es hat auch hier wieder einmal gehagelt !

7 September

Die Pässe werden weniger. Aber es geht immernoch rauf und runter… und wenn es einmal zu flach wird, dann findet Olivier immer eine Möglichkeit die Reise interessant zu gestallten. Aber nicht etwa auf normalen Strassen, sondern auf Strecken wo ein vierallradantrieb nicht unpassen währe. Da sind wir schon mal froh dass wir unsere Stossdämpfer gepolstert haben. Je nach Strassenzustand, können wir unser Wohnmobil hinten etwas erhöhen damit wir nicht Sitzen bleiben.

Also all das, um euch von unserem Besuch von Lecina zu erzählen. Auf der Suche nach dem Jahrhundertbaum haben wir dieses Dörfchen durchquert und mussten fast die Rückspiegel zuklappen und die Balkon höhen messen. Aber es hat geklappt, und wir haben auch die 7km Hin- und Rückfahrt auf einer « unkreuzbahren » Strecke gut hinter uns gebracht. Den Baum, haben wir dann übrigens vor dem Dorf auch noch gefunden ! (Glücklicherweise ist Olivier wirklich ein super Kapitän welcher sein Schiff genaustens kennt).

Jetzt befinden wir uns in der Sierra Guara und seiner Schluchten. Wir betrachten Alquézar, eine traumhafte mittelalterliche Stadt, nur von weitem, da uns leider die Energie fehlt. Aber die Aussicht ist toll. Weiter geht es nach Rodellar… eine kurvenreiche Strasse bringt uns bis zu einer Tafel worauf seht … Camping El Puente … und nebenan ein Schild – ! Abfahrt 12%! 800m- von hier aus sieht die Strasse in Ordnung aus, das müssten wir schaffen und wir werden uns ganz unten in der Schlucht befinden… Yessss.

Yes, einfach gesagt ! Motorbremse- Handbremse – Fussbremse – OK – Bäume – Sträucher – Schlaglöcher- OK ! Jaaaa, wir haben es geschaft. Nun wissen wir noch nicht ob wir es jeh wieder nach oben schaffen, aber für heute reichts. Wir übernachten hier.

Der Camping ist gut gelegen, gleich neben dem Bach in der Schlucht… Ziel erreicht.

Das Wasser ist klar, Fische in Sicht, alte romanische Brücke, friedlich, gemütlich, ohne Lärm. UND ! Folgt der Weltuntergang ?… ein unglaubliches Ungewitter platzt auf uns nieder und das während der ganzen Nacht. Gut Nacht !

8 September

Juli und August, muss dieser Ort von Wander-, Canyoning- und Trekkingtouristen nur so wimmeln. Aber während unseres Aufenthaltes hat es wenig Leute auf dem Zeltplatz, eine herzliche Grossmutter kommt bei uns vorbei, bringt Chuppas (Lolipops) für die Kinder und erzählt uns Geschichten (leider verstehen wir nur die hälfte) … doch sie fragt uns : Wie alt denkt ihr bin ich ? Man würde ihr schon 80 Jahre geben, aber Olivier sagt mal scheue 75 Jahre ? Da fängt die Omi an zu lachen und sagt : So jung ist meine Tochter !!!

Spaziergänge und Badespass im Canyon, welcher leider seine klarheit über Nacht verloren hat und sich in ein kakaoroten Strom gwandelt hat (normal bei diesem Unwetter!).

9 September

Zwei Nächte an diesem idyllischen Ort, wir haben genug frische Energie getankt. Nachdem wir unser Haus wieder einigermassen in Ordung gebracht haben, heizen wir Jerry Lee ein (bessergesagt seinen Motor), wir werden seine ganze power brauchen um wieder aus dieser Schlucht zu kommen ! Und wir geben alles um diese Auffahrt zu meistern, ohne Probleme, bringen wir den Aufstieg hinter uns, der Weg kam uns sogar viel kürzer vor !?

Von der tiefen Schlucht aus wollen wir nun wieder in die Höhe. Da kommt uns das Castillo de Loarre gerade gelegen. Hier oben kreisen Geier, die Aussicht ist fantastisch, das Schloss ist eines der best bewahrten von ganz Spanien oder sogar Europa. Der Besuch hat sich gelohnt. Wir schlafen auf dem Parkplatz, wie so oft sind wir die einzigen (in mitten von vielen hunderten fliegen).

10 September

Sie sind alle aufgereit, beobachten uns von da oben… eine Gruppe von ungefähr 12 Geiern ruhen sich auf dem Felsen aus, nur 50-100m trennen uns von ihnen… ganz natürlich. Wir wollen noch mehr davon sehen und Olivier will uns die Mallos de Riglos zeigen (welche er im Internet entdeckt hat… toll die moderne Zeit!).

Los gehts auf ein neues Abenteuer in Richtung Mirador de los Buitres. Es gibt einen Weg auf den Berg, welcher uns zum Observatorium bringt ( so hat man uns das auf jedenfall gesagt). Nachdem wir uns durch ein kleines Dorf mit winkeligen Stassen, engen Gassen und erstaunten Einwohnern gerankt haben beginen wir die Auffahrt… in der Hoffnung uns nicht im Weg getäuscht zu haben und keinem Fahrzeug auf dieser engen Strasse zu begegnen … an gewissen Stellen wird es echt knapp, eine Kehrtwendung ist unmöglich und im Rückwertsgang… nein, keine Wahl, los weiter geht’s.

Stop bei der Ruine welche das Panorama überragt. Auf einer Tafel steht, dass es noch (nur noch) 2km bis zum Aussichtspunkt sind. Die möchten wir aber lieber zu Fuss bewältigen, vorallem weil der Weg nahe den Klippen liegt und es Olivier jetzt schon mulmig wird. Mit seinen Stöcken gewappnet nehmen wir die letzten paar Meter in Angriff. Es ist heiss… aber es hat sich gelohnt ! Über, neben und entlang den Klippen gleiten die Geier durch die Lüfte (super dass wir die paar Meter zu Fuss gehen). Die Aussicht hier oben ist traumhaft, unter uns sind die Malos, vor uns die Geier, wir haben Ausblick auf Riglos, sehen wo die Geier nisten, beobachten andere Vögel und machen natürlich zahlreiche Bilder.

Alles hat ein Ende (nur die Wurst hat zwei 😉 )… wir kehren wieder zu Jerry Lee zurück. Nachdem wir ein paar Schularbeiten im freien gemacht haben, fahren wir wieder den Berg herunter … und das ohne jemandem zu begegnen ( ausser wenigen Wanderern und Fahrradfahrern)… glück gehabt !

Auf nach Riglos, wo wir unsere Nacht zu Füssen dieser ulkigen und doch grandiosen Felsen verbringen.

11 September

Es ist der Tag an dem die USA trauert und wir verwachen unter diesen gigantischen Felsen (Andrea’s Eltern feiern heute Hochzeitstag, da vergessen wie natürlich nicht ihnen unsere besten Wünsche zu senden). Nach einer kurzen Fotopause, fahren wir Richtung Halbwüste von Bardenas, die Landschaft ist unglaublich, wir geniessen jede Minute. Es ist wieder einmal an der Zeit unser Schiff in einen Hafen zu fahren ( um Wasser zu tanken, Abwasser zu leeren, von heissen Duschen zu profitieren und uns etwas auszuruhen). Deshalb machen wir es uns auf dem Camping Bardenas gemütlich und die Kinder erfreuen sich am Spielplatz und vorallem am Swimmingpool. Wir sind total begeistert (bis ca. 21 Uhr… die Zeit, wo heisshungrige Mückenschwärme den Campingbesuchern das leben schwer machen !).

12 September

Tag an dem wir nichts tun… ausser den täglich anfallenden Schularbeiten, Essenszeiten, Putzminuten und natürlich profitieren wir vom Pool und erholen uns 🙂

13 September

Besuch der Wüste Bardenas Reales, ein sehr geschützter Park (UNESCO biosphärenreservat) mit steppenartigen Hochebenen, trockenen Schluchten und bizzaren Felsformationen (angeblich wurden hier schon mehrmals dreharbeiten für Westernfilme vorgenommen)… es ist heiss und die Strassen sind ohne Ende… eine Mondlandschaft… Andrea kann den finger kaum noch vom Fotoapparat lösen.

Auf der Rückfahrt zum Camping machen wir einen Halt im Kloster de la Oliva… wir Picknicken im Schatten der Baumalee auf dem Parkplatz, für einen Klosterbesuch sind wir leider zur falschen Zeit (ja, die Zisterziensermönche machen spanische Mittagspause). Wir kehren nach Arguedas zurück um den chinesischen Bazar zu durchwühlen, aber natürlich stehen wir um 16 uhr vor geschlossener Tür ( auch die spanischen Chinesen machen Siesta). Wir gehen in einem nahen Restaurant etwas trinken bevor wir unsere Geschäfte machen. Auf dem Weg fällt uns die bemahlte Ruine eines ehemaligen Restaurant auf… für ein paar Bilder reicht auch da die Zeit noch. Weiter geht es nach Valtierra wo wir hoffen auf ein paar Troglodyten Häuser zu stossen. Wir ignorieren bewusst das schlecht platzierte Umfahrungsschild doch treffen wir am Stadteingang auf eine Barikadierung. Aber als wir anfahren öffenen uns die zwei freundlichen Stadtherren das Tor und lassen uns durchfahren. Die ganze Stadt ist total abgesperrt, wir befinden uns vor einer Tribühnen… die Leute jubeln uns an ( sind wir auf einem Schauspielplatz ?) Jerry Lee wird aplaudiert… wir verstehen nur Bahnhof… was ist los ? Anscheinend werden in 20min. hier Stiere in das Dorf gelassen, das dürfen wir nicht verpassen. Wir stellen Jerry Lee ausserhalb der Absperrung ab und setzen uns zu den einheimischen Zuschauern. Eine traditionelle Stierjagt, mit waghalsigen Männer die versuchen deren Hörner zu berühren beginnt… wir staunen… und haben Mitleid mit den jungen Tieren.

14 September

Die Zeit vergeht in Windeseile ! Wir möchten unseren Blog wieder aktualisieren. Olivier und Andrea verbrigen fast den ganzen Tag damit das Erlebte schriftlich festzuhalten und Bilder auszusortieren, während die Kinder noch vom Schwimmbad profitieren.

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Mardi 2 septembre

Nous passons par Figueras pour traverser la zone Volcanique de Garrotxa en direction de Tortellà.

C’est là que nous trouvons le magnifique pont romain, loin de tout, son parking nous accueille pour la nuit. C’est un super endroit ombragé, calme et isolé (seuls les nombreux morceaux de verre provenant de diverses vitres de voitures nous inquiètent),  mais nous prenons les précautions nécessaires pour dormir en tranquillité.

Mercredi 3 septembre

Nous profitons de nous baigner et faisons quelques photos du lieu insolite. Départ direction Dorres. Pour y arriver,  nous devons attaquer quelques cols, le plus haut du jour sera le col de Toses 1790m. Le village de San Juan offre une aire CC où nous profitons de faire le service et de nous reposer un moment… Après halte tapas à Ripoll,  nous  arrivons en fin de journée à Dorres, ancienne cité thermale romaine.

 

Jeudi 4 septembre

Nous avons dormi sur la place prévu pour CC, proche des bains, avec d’autres CC (habitués des lieux), profitons de nous baigner dans cette eau à 40°C (sulfureuse) Ohhooaaaaooowuuaaaaaauuu ! Cela fait un grand bien.

 

Nous avons juste le temps de rejoindre Jerry Lee quand un magnifique grain avec grêle nous salue et nous offre un spectacle unique en son genre.

Mais quelle journée nous attend ? Bon, nous continuons la route et passons par le col de Puymorens à 1915m (il fait bien frais, mais heureusement pas de neige en vue 😉 ) nous laissons notre autocollant en souvenir.

Descente sur Andorre, le paysage et incroyable … Andorre ???? On n’ adore pas, atmosphère étouffante, pluie, bruit etc. Nous n’allons pas rester là comme prévu… fuyons. A la frontière, ils nous arrêtent… aie ! Que veulent-ils ? Mais heureusement le douanier ressort aussi vite qu’il est rentré dans notre maison.  Serait-ce à cause des chiens ? Des enfants ? Peut-être le chaos qui règne ce jour dans nos murs… on ne le saura pas.

Nous repartons. Maintenant,  il faut trouver un halte pour y passer la nuit. Nous décidons d’aller dans le camping à Sort qui nous semble très sympathique.

5 septembre

Nous ne faisons pas beaucoup d’activité (hors : école, cuisine, vaisselle, jeux, promenade) mais restons deux nuits. Chef nous fait une grosse frayeur en tombant dans un canal bordant le camping (canal fabriqué en béton avec un fort courant allant directement à la centrale électrique) Andy a pu le rattraper avec justesse 50m plus bas… ouf !! Olivier se lie d’amitié avec le patron du camping, qui nous prête la clé de son chalet dans une station des Pyrénées, mais ça sera pour une autre fois,  nous voulons continuer notre route et avancer.

Pyrenäen und Andorre

Dienstag 2 September

Wir fahren via Figueras in die Vulkangegend von Garrotxa in Richtung Tortellà.

Dort entdecken wir die eindrückliche alte romanische Brücke, weit weg von allem, aber mit einem schattigen Parkplatz, auf welchem wir übernachten. Es ist wunderschön hier, ruhig und schwach besucht (nur die zahlreichen Glassplitter welche von diversen Autos stammen, machen uns etwas unsicher) aber nach ein paar Vorsichtsmasnahmen, schlafen wir in aller Ruhe.

Mittwoch 3 September

Wir nehmen ein Erfrischungsbad und machen ein paar Fotos bevor wir nach Dorres fahren, welch Ort sich auf französischer Seite befindet. Wir befahren mehrere Pässe, der höchste Col de Toses ist auf 1790m. Das Dorf San Juan bietet eine WoMo -Stellplatz mit Ver-und Entsorgungsstation, wir nützen die Gelegenheit um unseren Abwassertank zu leeren, Frischwasser nach zu füllen und uns etwas auszuruhen… Abends erreichen wir den Stellplatz in Dorres in der Nähe vom Thermalbad.

Donnerstag 4 September

Nach einer ruhigen Nacht, wollen wir uns im Thermalbad noch etwas erholen (obwohl erholung mit Kindern zwischen 6 und 9 Jahren nicht gerade einfach ist) Das schwefelhaltige Wasser hat 40°C Wauuuouuuuauuuohhhaaaa! Das tut gut.

Wir schaffen es gerade noch rechtzeitig zu Jerry Lee, als auf einmal ein stürmischer Regen mit Hagelkörner aus dem nichts auftaucht. Unglaublich… wir warten und bestaunen das Unwetter.

Was werden wir heute wohl noch erleben ? Nun gut, wir fahren weiter und « erklimmen » den Puymorens Pass auf 1915m (es ist ziemlich frisch in dieser Höhe, aber von Schnee keine Spur;-) )Wir hinterlassen unseren Sticker als Souvenir.

Weitre geht es Richtung Andorra, die Landschaft ist unglaublich… Andorra??? Ist das wirklich hier ? Eine Mischung aus Bergland und grosser Haubtstadt, laut, erdrückend und zudem noch Regen verkürzen unseren Aufenthalt …. wir fliehen. An der Grenze werden wir angehalten… ui ! Was wollen die wohl ? Unser Wohnmobil auseinandernehemen ? Dabei haben wir nicht einmal etwas gekauft. Aber glücklicherweise kommt der Beamte so schnell wieder aus unseren vier Wänden wie er auch rein gegangen ist. Ob dies nun an den Kindern, den Hunden oder der heutigen Unordnung liegt… wir werden es nie erfahren. Wir fahren weiter. Los geht die Suche nach einem passenden Rastplatz. Wir beschliessen die Nacht in Sort (vorallem unter den Raftern bekannt) auf dem Campingplatz zu verbringen.

Freitag 5 September

An diesem Ort unternehmen wir nicht viel (ausser unsere täglichen aktivitäten wie Schule, kochen, Geschirr spühlen, spielen und spazieren) aber bleiben zwei Nächte. Während einem Rundgang nützt Chef die Gelegenheit und springt auf oder bessergesagt über eine Mauer, was er aber nicht wusste hat, dass die Mauer ein Wasserkanal ist welcher direkt zum Kraftwerk geht. Der Wasserstrom ist ziemlich stark und die Wände senkrecht, Andrea schafft es gerade noch rechtzeitig ihn aus dem Wasser zu ziehen… glück gehabt!! Olivier befreundet sich mit dem Besitzer, welcher uns den Schlüssel für sein Chalet in einer naheglegenen Station anbietet, ein andermal vieleicht, wir wollen jetzt erst einaml unsere Reise fortsetzen.

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Mardi 26 août jusqu’au 1er  septembre 2014

Après la nuit sur le parking, nous déménageons frigo/congélateur et quelques effets pour nous installer chez Granny qui est contente de nous voir et de nous choyer. Nous profitons de cette semaine pour nous baigner à la mer (qui est excellente), de visiter les environs, Rosas, Llança, Figueras et l’Aquaparc local, qui ravi les enfants. C’est la rentrée d’école en Suisse et nous commençons à faire étudier les enfants (il nous faut encore un peu d’entraînement pour trouver notre rythme, mais ça vient gentiment).

Le top de la semaine était bien sûr la fondue au fromage suisse, sur le balcon avec vue sur la mer et une température avoisinant les 30°C.

Nous repartons avec une petite larme aux yeux, c’est dur de quitter Granny aussi vite mais nous devons être le 23 septembre à Bilbao et la route que nous aimerions prendre pour poursuivre nos aventures en CC est tortueuse dans les Pyrénées.

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Dienstag 26 August bis 1 September 2014

Nach einer Nacht auf dem Parking, packen wir unsere sieben Sachen, leeren Kühlschrank / Tiefkühler und ziehen zu Granny (Olivier ‘s Mutter) um, welche sich riesig über unseren Besuch freut und uns eine Zeit lang verwöhnen darf. Während dieser Woche baden wir im Meer, besichtigen die Umgebung, Rosas, Llança, Figueras und erfrischen uns im AquaBrava, was natürlich die Kinder sehr erfreut.

In der West-Schweiz ist nun Schulanfang, somit machen auch wir uns daran das Schulprogram nicht zu vernachlässigen (obwohl wir noch etwas an Übung fehlen, aber das werden wir schon meistern).

Der höhepunkt (oder einer der Höhepunkte) war das Käsefondue auf dem Balkon, mit blick zum Meer, bei fast 30°C.

Wir verlassen diesen Ort mit nassen Augen, es fällt uns nicht einfach Granny nach schon so kurzer Zeit zu verlassen, aber wir müssen unbedingt am 23 september in Bilbao sein ( damit Olivier seinen Flug in die Schweiz und somit seine Therapie nicht verpasst). Die fahrt bis dort hin, ist nach unserer Routenplanung über die Pyrenäen, eine weite fahrt.

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